Les jeux de société de notre enfance
Baptiste et Etienne retournent en enfance et parlent des jeux de société connus et obscurs qui les ont façonnés.
Mais d’abord, ils discutent du film Il faut sauver le soldat Ryan, de Gladiateur 2, de la série Senna, du jeu de Playstation Horizon Zero Dawn, de la saison 2 de Arcane et du film L’amateur
Transcription de l'épisode
Contient des erreurs car générée par IA.
Salut Etienne.
Salut Baptiste.
Je vais te demander de te concentrer, ok? Est-ce que t'es prêt?
Oui, je suis prêt.
Ok. Secoue-toi les épaules et la tête.
Ok, voilà.
Ok.
Parfait.
Maintenant que t'es mêlé comme un jeu de cartes, on va pouvoir parler des board games qui nous ont façonnés. J'adore ça. J'adore. Ah la la, voilà, voilà, voilà. Ça fait que ça c'est une petite dad joke.
Ah, c'est excellent. C'est excellent.
T'as ça.
Ok, c'est parti. Je suis mélangé. Mélange ton dé.
Ah oui, oui, c'est vrai, c'est vrai.
Là, là, attends un peu. Avant qu'on lance.
Oh! Je m'en...
Ok, mais avant que tu me dises ton résultat, je dois mentionner, c'est l'épisode 13. On enregistre un vendredi 13.
Hé, c'est l'épisode 13 et on enregistre un vendredi 13.
Je lance. Baptiste, que tu as obtenu? J'ai 9. Ok, j'ai 7. Ta réaction, je pensais que t'avais 1.
Non, mais on dirait que j'avais pas le goût de lancer parce que t'avais le goût de retenir, de me dire quelque chose avant qu'on lance.
Tu peux recommencer si tu veux, mais ça ne me dérange pas.
Ok, je relance. 20.
Oh non, non, j'aurais dû me fermer la gueule. Ah, ça y est, ça y est, je te crois, je te crois Baptiste. Je te crois, je te crois.
Ah man, il ne fallait pas que tu m'invites à relancer.
Ah merde, je t'ai donné un avantage, voilà. Alors Baptiste, explique.
Je sais tellement quel critique que je vais choisir.
Excellent, explique, explique le concept. On roule l'initiative depuis maintenant, peut-être 6, 7 épisodes. Explique ce qui se passe là, pour la première fois.
Nous est venue une idée à un moment donné avec Etienne, un peu folle de dire, Hein, on pourrait rajouter un petit peu de randomness dans nos épisodes, puis on va rouler. Puis si jamais on roule un critical fail, on a une table de critical fail, comme dans les jeux de Donjons et Dragons. Il y a des tables quand tu fais un critical fail qui est en 1. Et sur un critical success, ce qu'on a défini, c'est que la personne qui l'avait pouvait imposer un critical fail à l'autre, finalement. C'est un petit peu ça, le concept. Fait que là, je vais aller dans ma table des critiques. Tape des critiques, j'adore ça. Bien oui.
Non, je ne l'aime pas, ça. Moi, je ne l'adore pas.
Ah non, mais c'est ça. Je ne peux pas choisir. Je vais rerouler pour savoir sur la table.
Tu reroules pour avoir le calc.
C'est quoi l'effet? C'est quoi l'effectif? Il y en a un que j'espère vraiment pas que ça va être ça, parce que vous l'entendez à ma voix.
Je n'ai pas ma voix habituelle. On enregistre le lendemain d'une soirée bien arrosée dans mon cas, et voilà, j'ai…
Je vais juste, avant de rouler, histoire de mettre un petit peu de suspense, de 1 à 5, à un moment donné, pendant l'épisode, tu vas parler en anglais à la Denis Villeneuve. De 6 à 10, tu parles en Yoda. De 11 à 15, tu parles en Charles Tissard.
Oui.
Et de 16 à 20, tu fais un discours à la autiste sur le sujet en cours.
Oui, et le discours à la autiste, pour ceux qui ne le savent pas, c'est quoi? Otis, un personnage dans le film live action d'Asterix, Mission Cléopâtre. Otis fait une phrase d'environ une minute.
C'est complètement improvisé.
Oui, c'est complètement improvisé et c'est une phrase. Donc, le défi, si jamais c'est ça la conséquence, c'est que je dois faire une phrase d'une minute. À la Otis. Ce qui est complètement débile.
Ok, je vais rouler, Etienne.
Oui.
C'est parti. Sept. Tu vas parler en Yoda. Non.
Non.
Tu t'es tellement jinxé en disant que ce n'était pas ça que tu voulais.
Non. Non, c'est vraiment pas ça que je voulais. Je voulais rien de ça. Qu'est-ce qui se passe aujourd'hui, Baptiste? Oh non! Etienne me dit, ok, essaye de rerouler au pire, je tombe sur un vin.
Etienne me dit ensuite, je ne veux surtout pas parler en Yoda. Ça tombe ça, parler en Yoda.
Je ne voudrais surtout pas gagner soudainement un million de dollars. Ce serait terrible. Bon, d'accord. C'est malade. Juste pour clarifier parce qu'on ne l'a jamais fait, je choisis le moment.
Oui, on va dire que tu choisis le moment. Je vais...
Oui, tout à fait. Mais attendez-vous, est-ce que ma gorge tient pas le coup? Ça va être...
C'est parfait.
J'ai une idée de quand je vais le placer.
J'adore ça.
D'accord. J'adore ça. J'ai assez hâte que ce soit moi qui roule un 20 ou toi qui roule un 1 maintenant. Donc, tu as l'initiative. Vas-y, Baptiste.
Oui. Depuis la dernière fois qu'on s'est parlé, mon cher Étienne, vu qu'on en avait parlé dans l'épisode précédent qui était l'épisode sur Spielberg, nos préférés de Spielberg, j'ai regardé finalement, il faut sauver le soldat Ryan. Je ne sais pas. J'avais un petit goût d'un seul coup de réécouter ce classique-là. Ben oui, c'est ça. Je me suis retapé ça. Je me suis retapé ça.
Est-ce que c'est une deuxième écoute ou c'est comme une cinquième écoute? Ah non, c'est genre une dixième écoute. Ok. Est-ce que ça devient meilleur avec les écoutes? Ben là, c'est parce que cette dixième écoute-là, la neuvième écoute, c'était il y a déjà quelques années.
Puis avant, je le regardais plus régulièrement aux années, mettons. Donc là, on dirait que j'ai comme plus le bac de c'était-tu mieux? Je suis-tu en train de me tanner? Je n'avais pas ça, je suis juste content de redécouvrir des petits détails que j'avais oubliés.
Dernière fois, dans le dernier épisode, tu avais parlé qu'une de tes scènes préférées, c'était le département, puis il y avait le last stand contre le tank. Oui, vraiment. Est-ce que ça a changé ou est-ce que quelque chose...
Non, c'est toujours la même chose.
Toujours pareil.
Mais c'est drôle, j'avais oublié à quel point la gang qui va sauver le soldat Ryan, Isaïs, le soldat Ryan, Ben oui. J'avais tellement oublié ce détail-là. Il le détestait tellement tous.
Tu sais, Baptiste, il faut que tu ailles sauver Matt Damon à l'autre bout du monde, sur Mars, sur une planète par rapport, dans Interstellar.
Et attends, quand tu arrives pour le sauver, il te dit fuck you, je reste.
Oui, toujours.
Quel connard. Ah, c'est drôle. Et toi, Eddiel? Ben, moi de mon côté, je vais commencer par du cinéma aussi, parce que je pense que c'est ce qu'on aime le plus dans le podcast.
Je suis allé au Emax voir le Gladiateur 2.
Oh, pis? Ben, c'est un peu du réchauffé, on s'entend. Oui, oui, oui, oui, oui.
Donc, joke de papa, ça y est, j'aurais appelé ça Gladiateur 2. Mais non, sans blague, c'est du très bon divertissement. J'ai eu vraiment beaucoup de plaisir. Bon, il y a un truc, ce n'est pas dans mes notes, mais je viens de me rappeler. Dans les bandes annonces avant le film, il y a eu une bande annonce, en certain, je suis allé post Halloween, près Noël, donc il y a des pubs de Noël. Là, il y a des pubs de Coca-Cola, et il y a des pubs de Coca-Cola de Noël. Et il y a une pub de Coca-Cola de Noël qui passe officielle au cinéma et qui est générée par AI.
Ah, ouais, hein.
Et ça paraît. Ça paraît.
Et c'est terrible.
C'est terrible. C'est fou. Vous avez le budget de Coca-Cola.
Hey, vous êtes capable de vous payer des artistes.
Ben oui, ça va donner un bien meilleur résultat.
Surtout qu'en plus, l'AI est rendu... Pour l'instant, elle n'est pas assez bonne pour qu'on ne sache plus le dédicelé, nous les humains, que c'est de l'AI qui l'a fait. Fait que quand tu le vois, tu es comme, ah, ce n'est pas vrai qu'ils ont fait ça.
Oui, c'était un peu décevant. Mais gladiateur... Gladiateur.
C'était fait par l'AI.
Non. Ridley-Eyes-Cut. Non, mais c'était excellent. C'était excellent en termes de divertissement. Attendez-vous pas au premier en termes de... Tu sais, le premier a gagné des Oscars. Je veux dire, lui en gagnera pas. Puis attendez-vous pas aux motivations des personnages. C'est très... L'auteur avait besoin que tel personnage change de personnalité soudainement. Ah, ben, je vais l'écrire, puis ça va être ce qui va se passer. OK, je comprends. Mais... Ah, il y a des scènes vraiment cool là-dedans. D'ailleurs, l'intro, le débarquement de l'intro, parce que moi aussi, mon film, il y a un débarquement, mais c'est un débarquement. C'est une ville portuaire de la côte nord-africaine, je ne m'en rappelle plus c'est quelle ville, mais les Romains arrivent en navire, mais la ville est fortifiée. Mais est fortifiée, t'as le mur et t'as l'eau. Tu sais, c'est comme, il n'y a pas de plage. Donc, tu débarques, collé sur un mur. Donc, qu'est-ce que tu fais? Bien, tes tours de siège doivent être montées sur tes bateaux. Et ça donne une scène de débarquement exceptionnelle. C'est tellement cool. C'est du bonbon à voir. Il y a des gens que je connais qui trippent sur l'Empire romain et les tactiques militaires, le truc comme ça. Je suis allé leur dire, il faut que t'ailles voir ce film-là.
C'est comme je parlais bien.
Ouais, c'est cool. Il y a un truc qui me fait bien rire. Baptiste, quand tu vas voir le film, il y a une scène qui a été tournée. Soit ça a été tourné pendant un tremblement de terre. Ouais, ouais, exact. Soit c'est Michael J. Fox qui tenait la caméra. Soit le réalisateur est allé voir le caméraman et me dit, là, là, je sais que c'est une scène très solonelle et qui devrait être très émotive, mais je veux que tu brasses la caméra, comme un pot de peinture à la cancaillerie, OK? Puis le caméraman est fait comme, oh, je ne vais pas te décevoir. C'était terrible. Mais tu remarques, tu vas le savoir. Tu vas le savoir quand tu vas le voir.
C'est bon.
De ton côté, quoi d'autre? J'ai regardé la série Senna sur Ayrton Senna. Ayrton Senna, The North, qui était un fan, un fan numéro un d'Ayrton Senna. D'ailleurs, je le savais.
Je connaissais déjà un peu, évidemment, l'histoire, mais c'est le fun parce que là, tu en découvres vraiment plus sur sa vie, qui a démarré en go kart au Brésil. Après ça, il a fait de la formula Ford en Royaume-Uni, parce que c'était un sport très européen à la base. La F1, quand même, c'est pas... Ils en parlent beaucoup du fait que les gens d'Amérique du Sud se font souvent dire que les pilotes sont très agressifs, mais ils disent en même temps, si jamais on réussit pas, on se fait renvoyer chez nous. Faut qu'on soit agressifs. C'est un peu... C'est ça. Et c'est qu'Owlet s'en apprend plus sur sa vie, sur qui il était, sur comment est-ce qu'il avait l'air de penser, puis sur sa rivalité très fameuse avec le grand Alain Prost ou le petit Alain Prost aux cheveux bouclés, devrais-je dire. Fait que c'est ça, mais c'est super. Puis j'en ai appris plus aussi autour du fameux Crash, en fait, qui l'a tué au circuit d'Himola. Ce que je ne savais pas, c'est que la FIA avait l'an précédent, je crois, autorisé les voitures à avoir de l'assistance électrique, puis cette année-là, ils avaient décidé d'annuler, de revenir sur leurs décisions, puis d'empêcher les voitures d'avoir de l'assistance électrique, sauf que toutes les voitures avaient été construites pour avoir de l'assistance électrique, puis là, il fallait qu'il leur tire à la dernière minute. Et puis il y a eu beaucoup dans cette saison-là, il y a eu énormément de crashs, puis là, ils laissent sous-entendre que ce serait probablement dû à cette décision de la FIA qui était de dire, Eh, toutes vos voitures que vous aviez bâties autour de l'assistance, maintenant on vous retire l'assistance, débrouillez-vous. Fait que tu sais, c'était… Oui, c'est ça.
Ok.
Fait que c'est ça. Mais c'était super intéressant, c'était… les acteurs étaient très bons. Puis ils mixent les… Quand tu vois des scènes de courses, ils font un mix avec des vraies images des courses aussi de Ayrton Senna, ce n'est pas juste de la reconstitution. Fait que non, c'était ben cool, j'ai vraiment aimé ça.
Puis est-ce que c'est sur Netflix, est-ce que c'est sur…
Netflix.
Netflix, d'accord. Notreflex, d'accord.
Notreflex.
Et toi, Aytan? Moi, j'ai envie de partir un nouveau segment qu'on va regarder à chaque épisode, c'est-à-dire, je vais l'appeler Fan de Nintendo découvre l'univers de PlayStation.
Ah oui, c'est vrai, hein. C'est vrai, j'avais oublié.
Oui, parce que c'est ça, j'ai ma PlayStation maintenant. Le dernier épisode, j'avais mentionné Elden Ring. Maintenant, j'ai essayé Horizon Zero Dawn.
Horizon.
Horizon Zero Dawn. Je sais que tu as joué. Ok, qu'est-ce que j'en pense? J'ai aimé le jeu, j'ai plein de positifs à dire. Je l'ai fini, mais je ne l'ai pas complété. Je ne sais pas comment expliquer autrement. Mais tu sais, l'histoire est super intéressante. Moi, il y a un truc qui m'a frappé. Le designer du jeu, visuel, il a vu le casque métallique de Jamie Rockwell. Le casque à plume en métal, le Jamie Rockwell, et il s'est dit Horizon Zero Dawn. Je veux que tous les cargas aient un casque comme ça. J'avais l'impression de croiser.
Des Jamie Rockwell partout.
Exactement. Ça va bien faire rire. Mais c'est tellement beau. C'est tellement beau. Le jeu est bien.
Il est stunning.
Oui. Les combats contre les animaux, c'est super. J'aime le style de furtivité.
C'est un jeu qui est vraiment bien fait pour avoir une manette dans la main. C'est très bien fait pour ça.
Sur la PlayStation 5, j'avais la version remastered. Ça tient davantage de la manette avec les triggers à résistance variable. Oui. Et quand tu tires ton arc, il faut vraiment que tu forces des doigts.
Je craigne plus.
Oh oui, c'est vraiment cool. J'ai quand même quelques critiques sur le jeu, parce qu'il y a quelqu'un qui, malheureusement, m'avait dit c'est la réplique ou la compétition directe à Zelda de PlayStation. Et là, je m'attendais à un open world style Zelda ou style Zelda Ring.
C'est drôle, mais moi, je t'aurais jamais dit ça.
Mais c'est ça. Je pense que c'était une erreur de m'avoir... Je l'ai compris.
Je n'ai pas fait beaucoup de Zelda, mais je comprends la vibe Zelda pour dire que Horizon, ce n'est pas en tout temps Zelda.
Non, mais c'est parce que tu vois, Breath of the Wild, d'ailleurs, il va falloir que tu joues à un moment donné. C'est très basé sur l'exploration. Alors que Horizon, j'avais plus l'impression d'avoir de jouer à un Assassin's Creed dans un futur post-apocalyptic.
Il y a un open world, il y a plein de zones d'exploration qui sont le fun, mais c'est quand même dirigé. Tu as des marqueurs à suivre.
C'est très trop dirigé de tant qu'à moi. C'est là que j'ai trouvé ça plus difficile. Puis je sais également que sur ma liste, j'ai Ghost of Tsushima, puis j'ai entendu dire qu'il y a des similitudes, des similitudes entre les deux jeux dans le sens où il y a les sidequests, mais les sidequests n'ont aucune importance.
Oui, mais je te dirai, je pense que tu vas peut-être être... Si tu aimes ça, pas avoir trop de UI pendant ton exploration qui entoure ta fenêtre pour te dire où aller, quoi faire, etc. Je pense que Ghost of Tsushima est meilleur là-dessus.
OK, dans ce cas-là, je suis content.
Mais moi, l'histoire de Horizon, je la trouve capotée.
Pour ceux qui n'ont jamais joué Horizon Zero Dawn...
Faut pas vous voler le punch.
Il est bon, c'est trop bon. Le punch, non, mais c'est vraiment très évident depuis le début que ça se passe sur terre, déjà, puis ça se passe dans un avenir post-apocalyptique, justement. Non, c'est vraiment cool. L'histoire, c'était les gros points forts, je te dirais.
Tout à fait.
Ça, j'ai pas aimé ça.
Ça fait que j'ai adoré ça.
Très cool. J'avais une question pour toi.
Oui? Est-ce que Forbidden West est autant style Assassin's Creed dans sa carte, dans ses quests, où ils sont allés un petit peu plus exploration, un petit peu plus liberté?
Je pense que le open world est peut-être un peu plus grand.
T'as peut-être plus de liberté. Mais il y a encore une histoire avec des quests qui sont très dirigées, je pense.
Ok, ok, ok.
C'est mon feeling. Je trouve que le 2, c'est une très bonne continuité du premier.
Ok. Je m'attends à qui tombe en rabais dans ce cas-là.
Ça emmène l'histoire plus loin, c'est intéressant. Mais si t'as quelques réserves par rapport à ton expérience du premier, c'est sûr que le 2, tu risques de revivre un petit peu les mêmes... Mais il y a des trucs de plus qui sont vraiment waouh dans le 2. Mais bref, je ne t'en dirai pas plus.
Oui, ok. J'ai aussi été un petit peu déçu des boss fights. J'aimais bien la mécanique de comment battre certains animaux en mettant... qu'il faut être stratégique, il faut frapper des points faibles, etc. Mais le boss de la fin, je veux dire, j'ai fait l'humanisme constamment.
Dans le 2, j'ai plus rushé avec les beasts puis les boss. Il fallait que tu combines plus de tactique, il fallait être un petit peu plus bright dans tes affaires. Puis le boss final, j'ai plus rushé au 2e qu'au 1er, vraiment.
D'accord. D'accord.
Mais au 2e, ce n'est plus juste des beasts métalliques puis des tribes. Il y a d'autres affaires. Il y a d'autres parties prenantes.
Good. Mais puis c'est ça. Puis je sais, Zelda Breath of the Wild, c'était beaucoup fait de critiquer pour sa faible variance entre les ennemis, dans le fond. C'est toujours les mêmes monstres que tu combats. Puis ce n'est pas une critique que j'avais vue. Je ne sais pas si elle est répandue pour Horizon, mais Horizon en a encore moins, puis j'étais surpris de voir ça. En fait, c'est ça, le problème, j'ai comparé deux jeux qui ne devraient pas être comparés tant qu'il n'y en a pas. Non, c'est ça, en effet. Ok.
C'est intéressant.
Est-ce que je peux avoir une minute supplémentaire pour avoir ton opinion sur quelque chose? Tu sais, on s'attend que j'arrive à Nintendo, Nintendo, le réalisme. Des graphiques, ce n'est pas nécessairement leur force. Là, je me ramasse dans un monde où les graphiques sont tellement réalistes parce qu'il faut comme des indices visuels à certains endroits pour te dire Ton personnage a le droit de grimper là ou il n'a pas le droit de grimper là. Et moi, ça me dérange un peu parce que, d'abord, je m'attendais à pouvoir grimper n'importe où. Ben oui. Parce que si mon personnage peut grimper à un endroit où les rebords ont telle couleur, mais pourquoi il ne serait pas capable de grimper à tel autre endroit? Et ça, ça me dérange un petit peu, ça, je m'y dérange. Il y a même un endroit où je suis resté coincé pendant 20 minutes juste parce que je ne savais plus comment sortir d'un trou. C'est des bises, mais c'est ça. Tournée pillon là-dessus, qu'est-ce que tu en penses? Ben, c'est que moi, je te dirais, j'ai pogné une écurentite des open world aussi.
Les mondes qui cherchent à toujours te permettre d'en faire plus, mais que tu te retrouves à avoir des Philoquests par-dessus Philoquests par-dessus Philoquests, puis le monde, il n'est pas plus rempli au final, il est plus vide.
Exact.
Fait que là, ils mettent plus d'efforts sur plein de choses qui n'ont pas rapport avec l'histoire principale. Fait qu'à la limite, je te dirais, je préfère me faire prendre par la main comme ça, que des open world trop grands, mais trop vides. Tu sais, c'est vraiment... En fait, j'ai eu vraiment ma... C'est ça, là. Je suis un peu tanné des gars. Les Assassin's Creed ont vraiment poussé le piton loin là-dessus.
Oui, oui, oui.
C'est eux qui m'ont écœuré, en fait, des trop gros open world, je pense.
Ok, ok. Good, good. Pour conclure...
Je t'avertis, si t'aimes pas ça, si t'aimes pas ça, good of words, tu vas pas aimer ça non plus.
Non, non, non, attends un peu.
Parce que non, non, je parle pour grimper.
Mais tu vois, ça me dérange moins, parce que je viens de commencer, je vais m'en tenir à ça parce que je vais regarder pour le prochain épisode, mais ça me dérange moins parce que je sais que je suis coincé, je sais que c'est pas un open world, je sais que je dois suivre des tunnels. Donc là, ça me dérange pas. Mais si on me dit que tu peux aller partout, mais je resterai dans les endroits où tu peux grimper, puis visuellement, des fois, les indices sont gros comme le bras, des fois, tu te fiches. Ça me dérange un peu. Mais bref, je comprends. Voilà. Pas d'autres, Baptiste.
Ben, c'est tout.
As-tu regardé Hurricane? Ah oui, j'ai vu Hurricane, mais je suis un peu...
Je suis un peu... Je suis un petit peu déçu par la fin. Ah, pour vrai? J'aurais pris... Ok, je vais te dire pourquoi je suis déçu.
Vas-y, Baptiste.
Ça paraît que... ils avaient trop de choses à dire pour juste deux saisons. Ils avaient trop de choses à dire en juste deux saisons. Je trouve que entre le début de la deux, puis la fin de la deux, ça aurait pris au moins une saison de plus.
Ok, dans ce cas-là, est-ce que ta théorie, c'est qu'ils avaient besoin de trois saisons, mais ils ne s'en sont fait que payer deux? Euh, ben, il y avait ça, mais je pense que le deux saisons, il était défini depuis le début quand même assez tôt, là.
En fait, au début, je pense qu'ils s'étaient même fait mandater Fortier Studios pour en faire juste une seule saison. Ils n'étaient pas censés en faire plus que ça. Mais là, ils se sont dit, on n'a pas le choix d'avoir plus d'épisodes et plus de capacité à raconter l'histoire. Mais je pense que pour ce qu'ils avaient à raconter, avec le nombre de stories en parallèle, puis là, il y en a qui partent loin dans l'aspect métaphysique, puis dans l'aspect, t'sais. Fait que là, c'est comme, ah, man, j'aurais pris une troisième. J'aurais pris une troisième pour étirer un peu plus, puis laisser le temps aux gens de faire... Parce que je te dirais, la deux, je l'ai adorée, jusqu'aux deux tiers après ça. Puis là, j'étais comme, ah, ça va trop vite. Ah non, ça va trop vite.
Mais ça va vite, mais je pense que...
J'aurais... Non, j'aurais pris une de plus, mettons, à la limite qui parle... Je ne sais pas pourquoi, mais j'aurais pris une de plus qui parle juste de Victor, puis de Jace, puis de... Tu comprends ce que je veux dire? J'aurais pris le focus sur eux deux, mais dans une seule saison au complet, mettons. Je ne sais pas.
Dans ce cas-là, regarde, j'ai une question pour toi. Est-ce que tu préfères une série qui se termine, comme Ranking, par exemple, et que tu aurais pris une saison de plus, ou tu préfères une série qui se termine et que tu aurais pris une saison de moins? Ah ouais, c'est super, oui.
Non, c'est sûr. Mais tu sais, je veux dire, How I Met Your Mother, j'aurais pris une saison de moins peut-être.
Une? Je n'aurais pris quatre.
Mais ça m'a quand même marqué, puis j'ai quand même adoré ça, puis ça fait partie de mes références que je chéris beaucoup, pareil.
Absolument, je suis d'accord.
Te dire que je préfère l'un ou l'autre, je ne sais pas. Dans Game of Thrones, c'était évident.
Mais pense à toutes ces séries-là qu'on a adorées, mais qui se sont essoufflées.
Oui, mais tu vois, c'est ça, c'est que je pense qu'au début, ce que j'aimais beaucoup... Premièrement, je trouve que la première saison est une petite coche meilleure que la deuxième. Ça, c'est mon point de vue. Dans Arkane. Mais je pense d'un côté, j'avais l'excitation de l'ancien joueur de League of Legends qui reconnaissait plein de personnages. Ah, c'est drôle ça. Oui. Puis je l'ai vécu encore cet aspect-là dans la deuxième, parce qu'il y a des personnages qui se sont rajoutés, mais il y en avait beaucoup que je connaissais déjà. Puis là, j'essayais de comprendre la game de... Tu sais, la menace a vite changé de camp. Au début, c'était le Shimmer dans la Lower City. Puis d'un seul coup, un tiers de la saison 2, c'était comme, non, ce n'est plus ça la menace. Tu sais, c'est vraiment, d'un seul coup, c'est retiré. Puis là, j'étais comme, ah, j'aurais voulu, on dirait, j'aurais voulu que ça aille une coche plus loin, ça, tu sais. Mais bref, j'adore l'histoire de... Les visuels sont malades. J'adore l'histoire de Jinx, puis de Vi, puis de Vendor qui devient quelque chose. Puis j'adore l'histoire de Jace, puis de Victor, que je trouve. Mais c'est pour ça, je voyais ce qui se passait, puis je me disais, mais ils auraient pu faire une saison juste sur tout ce qui se passe entre ces deux gars-là, qui sont des amis depuis toujours. C'était fort.
Il va y avoir d'autres séries dans cet univers-là.
C'est pas terminé. Ce sera plus exactement cette série-là non plus.
Non, mais ce serait peut-être plus non plus cette formule-là. Mais il y a des personnages qui vont peut-être revenir. Ça, ce n'est pas encore annoncé. C'est peut-être déjà défini, mais bon. Moi, je ne sais pas si quelqu'un connaît quelqu'un qui connaît quelqu'un qui travaille chez Fortiche. Fortiche, qui est le studio d'animation, là. Mais j'aimerais déclarer mon bravo à Fortiche. Ah oui. Ils sont vraiment bons. Parce que, tu sais, c'est rare, une série d'animation, que de un, aucun motion capture, et que l'actinge visuel, l'actinge subtil dans le visage est aussi bon. Des fois, même, je regardais, je regardais la série, puis je me dis, il y a peu d'acteurs qui auraient exprimé une émotion aussi subtile avec autant de précision que, ah, pour vrai, c'est magnifique. Tous les visuels ont l'air d'un concept art. C'est comme regarder une animation de concept art, c'est magique. La musique, c'est toute la musique originale, c'est des artistes peu connus et parfois des artistes très connus, comme la saison 1, il y avait Sting qui faisait des chansons.
Ma préférée de saison 1.
Oui, non, j'ai vraiment aimé ça. Mon cher Baptiste.
Mon cher Baptiste.
Alors, je me suis fait une réflexion. Ah, ça va être ça, avec vous. Non, mais veillez. Reflexion, je me suis fait. Bonne annonce, j'ai regardé. The amateur, ça s'appelle, l'amateur. Les acteurs Rami Malek et Laurence Fishburne sont, souvenez-vous, plaît-il, Rami Malek dans le film sur Queen et la madrice, Laurence Fishburne dans le être. Bref, torture, ceci être pour moi.
Allons-y.
Je me suis fait une réflexion, je me suis faite. Laurence Fishburne joue dans la madrice et dans l'amateur.
Voilà. Je m'excuse.
Je m'excuse.
Je prends juste cette piece-là, puis je la garde dans ma tête. J'aurais dû enregistrer mon écran. À ce moment-là, je ne l'ai pas faite. C'était d'un trop parfait.
Tu vas voir laregistrement audio.
Au début, je me suis dit que ta voix, elle faisait juste dérailler. Je n'avais pas compris que tu étais parti en mode...
Normalement, j'aurais vraiment plus exagéré les...
Non, mais c'est parfait.
Ça me...
Le principal, c'est que tu l'as assumé. C'est parfait, moi, j'adore.
Mais oui, Lawrence Fishburne joue dans L'amateur et la Matrice. Je trouve ça génial.
C'est parfait.
Voilà. C'est l'idée que je voulais véhiculer.
Belle petite idée. Je ne sais pas comment t'as pris quelle tournure, mais moi, c'était vraiment les jeux qui ont façonné, mettons, ma jeunesse. J'ai inclus dans ma jeunesse, mon enfance, mon adolescence, puis qu'est-ce qui m'a donné le goût d'être un joueur de board game avide, de plus de board game, toujours plus de board game. C'est pas, je te dirais, j'ai fait une espèce de liste de jeux que je jouais quand j'étais jeune qui m'ont marqué. Et puis je pense que ce n'était vraiment pas des jeux qui étaient très élaborés des fois, par rapport à ce qu'on est capable de trouver aujourd'hui. Mais ça m'a tellement donné des piqûres de certains aspects des jeux que j'adorais. Fait que là... Attends, vas-y.
Je sais que t'as une initiative, mais je veux poser la question. Est-ce que tu veux qu'on mentionne les choix de nos astronautes? Parce que, je veux dire, le Discord a répondu.
Oui, c'est vrai.
Est-ce qu'on commence par Discord ou est-ce qu'on finit par Discord? Commençons par Discord. Est-ce que tu me fais penser en dernier parce que t'as roulé un vin et puis...
Non, non, non, passons ceux des gens de nos chèvres Discordiens. Alors, en premier, notre chèvre Goof, Jour de Paye, Monopoly.
Ouais, classique. Monopoly et Jour de Paye.
Clou, évidemment. Atmosphere.
Atmosphere, ça est ce que tu connais? Non. OK, je vais t'expliquer, Baptiste, parce que ça vaut la peine. Atmosphere était un jeu dont dans les consignes, tu devais jouer dans le noir.
Nice.
Avec peu de lumière. Et la lumière à laquelle tu avais le droit, c'était la lumière générée par ton téléviseur, OK? Parce que le jeu venait avec une cassette VHS que tu jouais. Dans le fond, la partie durait une heure, si je me rappelle bien. Puis, une fois de temps en temps, il n'y avait rien à l'image, jusqu'à ce que soudainement, il y ait quelque chose. Puis, il y a quelqu'un qui te donnait des consignes, puis là, ça changeait le jeu, puis là, tu continuais, puis bref. J'ai des souvenirs que très vagues. Peut-être que, Goof, tu nous entends, puis tu fais comme, ah, ce n'est pas exactement ça, mais dans ma tête, le petit gars de 9 ans qui a joué, c'était ça. Puis je me rappelle que c'était le truc à mon âge, c'était, ça faisait peur.
Ça faisait peur.
En tout cas, moi, j'avais la chienne. Mais c'était vraiment cool. Le concept était vraiment cool. Par contre, si tu jouais une partie, c'était toujours la même cassette. Après, il n'y avait pas de randomizer dedans, donc c'était toujours la même chose. Mais quand même, c'était vraiment un concept intéressant et original. Monopoly, tu as tes idées, tu as tes billets. Oh, good. Atmosphere, sort la télé.
C'est la noire.
C'est parti. C'est cool, quand même.
Très cool.
Merci, Guf.
Il y avait aussi... Il nommait aussi Risk, évidemment.
Ah, mais Risk.
Planète Hollywood et les Pogs, si ça compte. Oui, ça compte. Board, je ne sais pas, mais Game, oui, définitivement.
Les Pogs, j'ai tellement eu du fun avec ça.
On a notre cher Potomax qui parlait de Stratego.
Stratego.
Ouais. Son père, qui avait inventé un jeu de société, tu te promenais sur le board et fallait faire des petites épreuves pour gagner des sous. C'est malade. Puis le Cranium. Le Cranium, c'est vrai que quand c'est sorti, c'était une sacrée référence.
Oui, il y a eu une folie Cranium.
Oui, oui. Puis on a The North aussi qui parlait de Chandonneur.
OK. Ça, ça faut que j'en parle.
Oui. OK, vas-y.
Je suis convaincu que tu connais pas.
Non, je ne connais pas.
Parce que ça a été créé par, je pense, trois Québécois. OK. C'est un jeu, si tu vas sur Board Game Geeks, tu vas voir que le niveau de complexité est au maximum. Je ne m'appelais plus si c'est sur 5 ou sur 10, mais c'est 5.0 sur 5. Tu ne peux pas avoir plus complexe. C'est un jeu sur la Deuxième Guerre mondiale.
OK.
Et une partie peut durer des semaines.
Ah, ouai.
Puis c'est même pas des blagues. C'est même pas des blagues. La plage de jeu est immense. J'ai aucune table chez moi qui est assez grande pour pouvoir jouer à ça. Les pièces, c'est des petits jetons en cartons ronds de peut-être un centimètre et demi de diamètre. Puis c'est long comme pas possible. C'est compliqué, mais compliqué. Puis c'est super compliqué avec les règles simples. Mais tu peux avoir des règles plus complexes où tu as la gestion du pétrole, puis des trucs comme ça. Mais c'est vraiment, c'est une simulation de la Deuxième Guerre mondiale.
Ah, ouai, hein.
Et c'était à la fois passionnant et frustrant. Parce que des fois, tu te ramassais avec... Tu sais, tu commençais avec la France. Disons que tu joues la France, tu sais que tu vas te faire ramasser pendant la première semaine de jeu. Oui, c'est ça. L'Italie, tu sais que tu pourras jamais être bon. Tu sais, ça va être impossible. Bref, si t'es des Américains, tente pas en guerre avant deux ans. Puis deux ans dans le jeu, c'est vraiment long. Donc, tu sais, il y a des trucs comme ça qui rendaient le jeu compliqué. Mais, pour vrai, chapeau aux créateurs de ce jeu-là. Si jamais vous nous entendez d'une façon quelconque, déjà de un, faites-nous signe, OK? Parce que vous ne savez pas à quel point The North, entre autres, et toute sa gang d'amis du secondaire de laquelle j'avais été un peu mis à l'écart, parce qu'une fois, j'avais été invité, puis j'avais éternué sur le board et toutes les pièces ont volé dans tous les sens. Écoute, je me rappelle encore la honte. Mais non, pour vrai, des fans finis de ce jeu-là, vous en avez, sachez-le. Sachez-le.
C'est bien. Tu fais beaucoup de dédicaces à beaucoup de créateurs dans cet épisode. C'est parti. Si vous nous entendez. Puis on a aussi Tanteli qui a parlé de Milborn.
Oui.
Évidemment, c'était aussi un jeu de voyage, je crois, pour moi, pour ma part, qu'on emmenait. Tu sais, on fait des bornes, on va emmener le Milborn.
Quelle bonne idée.
C'est ça, dans ce sens-là. Oui. Oui, oui, oui.
Et quoi d'autre il avait mentionné Tanteli? Tanteli, c'était juste Milborn? Il y avait aussi Monopoly. Monopoly, bien sûr.
Excusez, je n'ai pas répété le jeu qui avait déjà été mentionné.
C'est bon. Mais merci.
Oui.
Merci aux astronautes.
Merci la gang de nourrir cet épisode avec toutes vos belles idées.
Un genre de tentante, Baptiste.
Fait que j'ai fait comme trois catégories, deux jeux par catégorie. Je vais y aller avec ma première catégorie, on verra. Catégorie, wow. Oh, j'ai fait des petites catégories.
Je me sens comme la personne qui arrive en t-shirt et en shorts, Anne Suaret, où tout le monde est en tux.
C'est correct. Etienne, c'est correct.
Puis je suis l'an en 2020 en plus.
Go with the flow. La première catégorie s'appelle les jeux de hasard stratégie. Les jeux de hasard slash stratégie. Tu sais, c'est ces jeux où tout le monde a déjà dit une fois, T'as beau avoir la meilleure stratégie si le hasard n'est pas de ton côté. C'est ça. Ces jeux-là. J'aime que la phrase s'arrête là. Oui, c'est ça. Après ça, tu peux compléter comme tu veux.
J'aime ça. J'imagine que tu arrives.
Le premier jeu que je vais nommer, c'est les petits chevaux.
C'est quoi ça? Tu connais pas les petits chevaux?
Les petits chevaux. Oh la la la la la. Du coup, Baptiste, tu vois.
D'abord, je ne suis pas né en France. Non, vas-y, vas-y.
Tu avais une piste de course, qui était comme dessinée en une forme de croix. Puis dans les espaces vides entre les barres des croix, il y avait comme les écuries de quatre écuries de chevaux. Par écuries, je crois que tu avais quatre ou six chevaux. Ça, je ne m'en rappelle plus exactement. C'est un cheval de ton écureuil. Il fallait que tu roules un 6.
Ah, mais c'est le parcheysi. Tu connais pas le parcheysi? Nous, c'était une version religieuse. Il fallait que tu finisses au ciel.
Oui, ok.
C'est à peu près la même chose.
C'est à peu près la même chose parce que tu peux... Tu sais, tu pouvais... Premièrement, il fallait que tu mettes un 6 pour sortir sur le bord. Après ça, il fallait que tu fasses un tour complet.
Oui, et que tu remontes.
Et dès que tu revenais, il fallait que tu montes 1, 2, en roulant exactement le 1, 2, 3, 4, etc. Sauf que tant que tu n'étais pas rentré là, tu pouvais te faire... Puis on se disait littéralement...
Me manger.
Tu t'aurais... Je t'ai bouffé. En tout cas, nous en France, c'était plus bouffer. Donc là, j'imagine des chevaux qui se font manger sur l'hypodrome. Ce n'est pas beau.
C'est pour ça que tu ne veux plus jamais voir des chevaux en vraie vie. C'est intéressant. On apprend des choses. Je prends des notes.
Mais il y avait quelque chose quand même de... Premièrement, tu te dépêchais de faire rentrer tes chevaux dans la dernière piste parce que là, ils étaient protégés, ils ne pouvaient plus se faire manger. Puis malgré le hasard, tu pouvais faire quelques choix stratégiques. Sur un 6, ou sur les autres chiffres, une fois que les chevaux étaient par exemple... Sur un 6, dans le fond, il fallait que tu décides est-ce que je fais sortir un cheval? Est-ce que je fais avancer un autre cheval? Puis sur les autres chiffres, si tu avais un cheval qui était par exemple au 1 et qu'il avait besoin du 2, puis que tu avais un autre cheval qui était en course en ce moment, puis que là, à 2 devant lui, il y a comme un autre cheval qui pourrait bouffer, il faut que tu fasses un choix de c'est quoi qui est le plus pertinent pour moi dans ma game en ce moment. Ça, j'aimais quand même ça. C'était quand même un petit truc pour mettre la table. Le deuxième jeu que je suis sûr que tu connais pas, c'est le Nain Jaune. Le Nain Jaune. J'aime ça que je sorte des Void games que il ne connaît pas pas tous. Mais attends, je vais lui expliquer, puis il va me dire, oh, c'est l'autochémi! Oui, exactement.
Mais toi, ça va être avec des pièces très françaises. Alors, tu prends le camembert, tu vois, puis là, tu... Non, vas-y, vas-y.
Je l'ai appris sur les genoux de ma grand-mère maternelle, ce jeu-là.
OK.
Elle fumait des grosses cigares à côté de moi. C'était un jeu de cartes.
Attends, attends, attends, attends, Limence, je m'entends avec qui tu viens de créer, Baptiste.
Oui, je sais.
OK, non, mais...
Mais ma grand-mère fumait des cigares, oui. Puis elle m'apprenait à jouer aux Nains Jaunes. C'est un jeu de cartes avec un board. Tu poses des cartes, puis tu ramasses des jetons. Selon certaines cartes qui étaient sur le board présentes, tu pouvais ramasser certains jetons, puis la case au centre qui était représentée par le 7 de carreau, qui était le Nain Jaune, c'était là où il y avait le plus de jetons. Parce que des fois, il y avait un système où il fallait que les joueurs payent des jetons. Je ne sais plus comment ça se passait exactement, mais tu les mettais dans le Nain Jaune. C'est comme si le Nain Jaune, il volait de l'argent de temps en temps. Puis si tu tombais sur le 7 de carreau que tu arrivais à poser, tu récupérais la grosse mise en plein milieu. Bref, c'était un jeu où fallait accumuler des jetons qui étaient une genre de monnaie. Puis à la fin, une fois que tu avais fini, tu comptais ton nombre de jetons versus les autres. Puis c'était celui qui en avait le plus qui gagnait. Et je viens d'apprendre, en faisant une recherche Wikipédia, que ce jeu était fucking vieux. Je vais te le dire très rapidement dans la définition. Au départ, le Nain Jaune est le héro lait, jaloux et méchant d'un conte cruel de la baronne d'Olenois, publié en 1698. Le jeu apparaît en 1760 en Lorraine, sous le nom du Jeu du Nain ou du Jeu du Nain Bébé. Et là s'en suit une longue liste de noms que je ne nommerai pas. Puis ils disent finalement le Jeu du Nain Jaune se répand dans l'Europe entière et devient populaire jusqu'à la Révolution Française. Fait que c'est vraiment un vieux jeu. Je ne peux pas croire que ma grand-mère maternelle m'a comme appris à jouer ce jeu qui date du 18ème siècle.
Du coup... Oh my god.
Mais ce jeu-là, c'était un jeu de cartes classique dans ma famille. Puis c'était un jeu de... T'essayes de bâtir ta stratégie en fonction des cartes que tu es capable de poser pour aller chercher une genre de récompense d'argent. C'était pas de l'argent, c'était des jetons. Mais il y avait cette espèce de stratégie-là, entre guillemets, d'être celui qui récupérait le plus de jetons. Bref, ceci était ma première catégorie. Etienne, veux-tu en nommer? Après ça, je te jure, c'est plus des jeux que tu connais. C'était vraiment quand j'étais petit, petit. J'étais très jeune quand je jouais à ces jeux-là.
Ah, c'est drôle. Je veux dire, là, je sais que ça va être un peu déjà vu parce que j'ai déjà dit ces phrases-là dans un autre épisode, mais je te parlerai bien des échecs. Parce que c'est un des premiers jeux auxquels j'ai appris à jouer. Puis... Mais j'ai l'impression qu'il faudrait faire un épisode à part pour ça. Je répète la même phrase. Éventuellement, je pense qu'on n'aura pas le choix.
On fera un épisode pendant lequel on fera avancer nos pièces en même temps qu'on fait l'épisode.
Oh, c'est...
On fait une partie d'échec en même temps.
Oh, quelle bonne idée.
OK, on fait ça. On fait ça un prochain épisode.
J'aime ça. J'aime ça. RISK.
Oui.
Qui est classique.
Je l'ai aussi. Je vais en parler avec toi. C'est parfait.
Parfait. RISK. Tout le monde connaît ce jeu-là. Tout le monde a déjà joué. Tout le monde a déjà été frustré. Et tout le monde a déjà trippé à ce jeu-là. C'est un jeu que même, je veux dire, la meilleure représentation du jeu RISK, je ne sais pas si tu connais la série animée La Clique, en anglais, à l'original, c'est Undergrads. Il y a un épisode complet sur RISK, et ils arrivent à dire les règles, je pense en dedans, de 40 secondes, toutes les règles du jeu. Ils expliquent le jeu au complet, voici toutes les règles, 40 secondes, c'est magique. RISK, voici des faits vécu. D'ailleurs, The North peut témoigner du premier.
J'en ai aussi des faits vécu.
The North peut témoigner du premier fait vécu, parce qu'il était là. Un de mes amis, pas The North, a déjà littéralement flippé le board.
Ah ouais, hein? Ouais.
Vraiment. Et ce n'était pas en blague, ce n'était pas parce que la partie était terminée.
Non, non.
C'était juste de la frustration.
Je vais te dire mon affaire à moi qui est une histoire. Moi, quand j'étais jeune, je jouais juste avec mon père. À deux? Oui. Quand t'es deux, c'est domination totale. Tu n'as pas de mission. C'est juste qu'il faut que tu écrases l'autre. C'est ta seule mission.
Ben non, mais attends, c'est quoi cette version française-là de risque? Non, je te jure, c'était pas la version française, c'était la version mondiale.
Je ne sais pas quoi dire.
Non, mais est-ce que vous avez des branches? Des branches?
Des branches, oui.
Pour mettre sur les bastringales. Est-ce qu'on parle du même ch—? Non, je te gnaise, Baptiste. Mais non, mais c'est toujours la domination mondiale. De quoi tu parles? C'est d'écluster sur la boîte? Non, non, non, non. Ça, c'est Risk Re-Invention.
Non, non, non, non, non. Risk Re-Invention, de quoi il parle? Oui, oui, sorti en 2008.
Avec des flèches. Les tokens, c'est des flèches.
Non, je te jure que c'est pas— Ah, qu'ils aient la version française de bord.
Du coup, on conquérira pas la planète, les Britanniques l'ont déjà fait.
Non, mais j'y jouais. Écoute, j'y jouais genre— Pour vrai, je devais y jouer, mettons, avant les années 2000, j'y jouais avec mon père. C'était un vieux jeu, tu sais, c'est pas— C'est ça. Mais bref, domination totale, un contre un. Et puis, à chaque fois, je me faisais ramasser par mon père. Il était ben trop bon pour moi, et c'est drôle parce qu'on dirait qu'il essaie jamais vraiment gagner son fils, mais en même temps, peut-être que son fils était vraiment poche aussi. Fait que je me rendais, je me suis rendu peut-être au moins deux fois, à pleurer. Genre, je vivais. Puis risque, il y a un effet de plus t'es fort, plus t'es fort. Tu sais, il n'y a vraiment aucune chance pour ceux qui sont en arrière. Tu sais, c'est difficile parce que plus t'es fort, plus tu as des opportunités de rouler, plus de dés pour attaquer plus, pour conquérir plus. Tu sais, c'est vraiment ça le jeu un petit peu. Bref, vas-y, continue. Mais c'est ça mon expérience, moi.
Ah, c'est drôle. Mais en parlant de papa, j'avais des amis. Je les ai encore, ce n'est pas ça. C'est encore mes amis, je n'ai plus si mal. Je n'ai plus d'amis qui datent de l'époque de risque. Je sais qu'ils nous écoutent parfois, mais j'ai joué avec eux et leur père. Et à un moment donné, tu sais, des fois tu fais des alliances, tu n'as pas le choix.
Mais tu ronds les alliances, c'est ça le concept.
Il faut que tu conquires le board. C'est ça le seul objectif. Baptiste, en passant. Et ça se joue à trois minimum. Baptiste, non, en passant.
Non. Vous aviez une version allégée.
Non, on avait la vraie version. Non. Mon père avait le jeu original avec les pierres sans bois. C'était des rectangles, puis des carrés, puis c'était...
Non, non, non.
Ah oui? On peut faire un pari là-dessus, Baptiste, puis si je te prouve que le risque, la version originale, c'est domination mondiale, pas de mission et compagnie, t'as un un automatique.
Non, je refuse les termes de cette attente.
T'as l'initiative, t'as le droit de refuser. All right. Mais oui, j'ai dû briser l'alliance avec le père de mes amis. Et pour vrai, ça fait des années et des années et des années de ça. Mais à chaque fois, je le revois.
À chaque fois, je le revois.
Il m'en parle et il ne me parle que de ça. C'est le seul sujet. Il parle de risque et de la foi où je l'ai trahi. C'est tellement drôle. Ça va tellement chercher les gens, ce jeu-là. Tu mets tout ton être là-dedans. C'est magique. Je voulais parler du Risk Re-Invention, la version 2008, parce que je trouvais ça intéressant qu'il y ait des missions. Il y avait aussi des villes et des capitales.
Puis on n'avait pas ça. Moi, je te dis que j'étais un entre-eux, visiblement, de l'ancienne version et de la nouvelle.
The North avait une version vraiment cool qui s'appelait Castle Risk, que c'était juste l'Europe. Et ça se passait, je sais pas à quelle époque c'est supposé se passer, mais il y avait l'Empire Ottoman. Mais c'était une version vraiment cool, et je pense que celle-là se jouait à deux. Il faudrait qu'il me corrige si je me trompe. Mais je viens d'y penser, c'était vraiment cool, Castle Risk.
Et là, est-ce qu'on parle de l'Océanie? Oh, c'est quoi ta stratégie, Baptiste?
C'est juste de dire, l'Océanie, c'était le continent, premièrement qui est le plus facile à descendre, parce qu'il y a un seul point d'entrée dans ce continent-là.
Et il y a juste quatre territoires à conquérir. Fait qu'autant de dire que si t'as ne serait-ce qu'un ou deux territoires en partant, moi, je me rappelle les regards qui se lançaient, les gens qui étaient sûrs qu'ils allaient s'attaquer dès le début à cet endroit-là, juste pour être sûrs de conquérir l'Océanie, c'était l'endroit que tu voulais avoir dans toute la map.
Mais non, Baptiste, sais-tu comment je gagne à chaque fois? Non. Je l'ignore, puis je prends l'Amérique du Sud. C'est tellement plus facile de sortir de l'Amérique du Sud.
Amérique du Sud? Moi, j'irai une coche plus loin. L'Amérique du Nord, c'est probablement le meilleur rapport qualité-prix.
Ben oui.
Je trouve.
Oui, rentre en Amérique du Nord par l'Amérique du Sud.
Parce qu'il y a juste trois portes d'entrée.
Exact.
Puis ça vaut cinq, alors que l'Europe te rapporte le même nombre de renforts, mais il y a tellement plus de portes d'entrée sur l'Europe, en tout cas.
Oui, mais pour conclure la stratégie, moi, je trouve que de rentrer par l'Amérique du Sud est beaucoup plus simple parce que t'as toutes tes troupes au même endroit, t'as juste à défendre le Brésil, ou tu te gardes, puis tu prends l'Afrique du Nord-Ouest, puis tu défends ça à la place, puis t'es correct, puis t'empêches quelqu'un d'autre de prendre l'Afrique. Et tu peux plus facilement spliter tes troupes. Oui, rendu au Canada, c'est compliqué, mais tu peux plus facilement diviser tes troupes pour réussir à garder l'Amérique du Nord pendant sa conquête, que si tu commences là, et que tu vas avoir deux, trois joueurs qui vont juste se renforcer à ce tendeur-là, puis tu risques statistiquement de perdre ton avancée. Bref, si vous vous rejouez une game, commencez en Amérique du Sud, c'est mon conseil officiel. De rien.
De rien.
Quoi d'autre de ton côté, Baptiste? Très cool.
Dans ma deuxième catégorie, qui s'appelait de plus en plus de stratégies, il y avait Risk, qui était le premier des deux jeux, qu'on vient de parler. Et puis le deuxième s'appelle Scottland Yard.
Ah oui, ça, je t'aime mauvais.
C'est un jeu, mon ami Mathieu, mon ami français Mathieu, s'il se reconnaît, à l'eau. C'est lui qui avait ce jeu-là, qui nous faisait jouer à ça, c'était super bon. C'est un jeu où il y a un espion qui cherche à s'enfuir des enquêteurs de Scottland Yard à Londres. C'était vraiment bien fait. C'est un jeu du style un seul contre tout le reste, mettons. L'espion, lui, était tout seul. Puis en face, tu avais, je pense, tu es un de un à trois enquêteurs possibles. Mais si tu étais tout seul comme enquêteur, tu avais peut-être plusieurs pions, mettons, pour assumer le rôle de plusieurs enquêteurs. L'idée, c'est que l'espion se déplace dans Londres à des points, entre différents points, soit à pied, en bus, en taxi, en métro. Et les enquêteurs veulent tomber sur sa case pour l'arrêter. Sauf que les actions de l'espion, tu les vois qu'à certains tours dans le jeu. Donc, tu peux voir les moyens de transport pris par l'espion à tout, par exemple, les quatre tours environ, je crois. Il y a peut-être même un bonus qui permettait à l'espion de cacher certains de ses moyens de transport à certains tours. Puis, quand tu regardais ça en tant qu'enquêteur, tu voyais pour les quatre derniers tours quel moyen de transport il a pris. Donc, tu essayes de dire qu'il est parti de tel endroit, qu'il a pris tel moyen, tel moyen, qu'il soit là, là ou là. Mais tu sais, ce rôle d'espion, c'était tellement stressant, parce que tu es tout seul dans ta tête pendant que les enquêteurs parlent de leur stratégie et de leur suggestion en plein dans ta face. Les moments où il pointe exactement le bon endroit en disant, je pense qu'il peut être là. T'as comme le cœur qui se met à pomper sans bon sens. Puis je pense que dans ce jeu-là, il te fournissait quelque chose comme soit des lunettes pour pas montrer tes yeux ou quelque chose de même. Je suis plus sûr, mais en tout cas, bref. Je me rappelle de ce jeu-là. Puis ça, c'était quand même un côté. J'aimais beaucoup la stratégie, mais aussi t'avais un aspect coopératif quand t'étais les enquêteurs. Il fallait que tu te coordonnes et que tu te dises ce qu'on essaie de faire ensemble.
Est-ce qu'il y a quelque chose qui pouvait t'empêcher de tricher en tant que personne qui doit se faire attraper? Pourquoi? Parce que tu peux faire semblant que t'étais à un endroit ou à un autre endroit, et que tu n'as pas trouvé. Est-ce qu'il y avait moyen de faire ça? Oui, tu peux le faire, mais le rendu-là, c'est comme ceux qui trichent à Monopoly.
Je vais dire, c'est quoi l'intérêt de tricher? Moi, la personne qui avait ce jeu-là, c'était mon voisin qui...
Moi, personnellement, je soupçonne de tricher. Il faisait tout pour gagner.
Dans ce temps, ce n'est pas le fun.
Oui. C'est peut-être pour ça que je pense que je suis pas choisi, parce que je n'arriverai jamais à l'attraper, et je n'avais jamais été le voleur.
C'est ça. Fait que Scotland Yard. C'est cool. Toi, mon cher Etienne, en as-tu d'autres? Oui, oui, oui.
Je vais y aller avec HeroQuest.
Nice.
Tu connais? Oui. Je vais quand même l'expliquer. C'est comme s'ils avaient voulu faire une version simplifiée et encadrée de Donjons Dragon.
Tout à fait.
Donc, tu avais quatre personnages. Le barbare, l'enchanteur, l'elfe ou le nain. Et il y avait un dungeon master, il y avait un maître du donjon qui lui voyait le livre de scénarios avec quelles unités ennemies étaient placées où, sur la planche de jeu qui était des petits carrés avec des pièces. Puis que c'était une planche de jeu variable parce qu'au final, tu pouvais décider... Les scénarios dictaient où étaient les portes, où étaient les pièges, où étaient les trucs. Puis tu révélais au fur et à mesure que les personnages se déplaçaient sur le board, qu'est-ce qu'ils voyaient. Et donc, tu pouvais ajouter des meubles physiques 3D sur le board, des portes physiques 3D ici, ainsi que des adversaires et compagnies. Puis, dans les meubles, tu avais des trucs. Tu avais des coffres aux trésors. Tu avais des tables. Tu avais des chaises. Tu avais des trônes. Tu avais des bibliothèques. Tu avais des tables de tortures. Tu avais des tables de sorcellerie. Puis tu avais... Tu sais, c'était vraiment un univers fantastique. Puis l'enfant de 9 ans que j'étais... Tu ribais sur ce jeu-là. Exactement. Puis les ennemis, des gobelins, des orques, des femirs. Je n'ai jamais revu des femirs ailleurs. Les femirs, j'ai l'impression que c'était unique à ce jeu-là. Corrigez-moi si je me trompe. Il y avait des squelettes, des momies, des zombies, des guerriers du chaos, que le mot du chaos dans ces années-là était... Je veux dire, ils en avaient acheté à la caisse, puis ils devaient les mettre dans tout plein de jeux. Et une gargouille, qui était le monstre ultime à battre. C'est un jeu qu'ils ont refait en 2022. Il y a une réédition de jeu, oui, mais à un prix impossible. Je pense que quand il est sorti, c'était comme 200 US, un truc comme ça.
Ben voyons.
Je te jure. Puis là, maintenant, il a baissé, puis tu peux le trouver à 150 canadiens en anglais. Mais si tu veux la version française, tu vas payer le double. C'est quand même cher. Exactement. Mais ce qui est cool, c'est que, comme à l'époque, aujourd'hui aussi, il y a des extensions. Donc, tu as des scénarios supplémentaires, des troupes supplémentaires, des alliés supplémentaires, des trucs comme ça. Puis, d'une partie à l'autre, tu sais, comme je parle de Donjon Dragon, d'une partie à l'autre, ton personnage évolue, il trouve des meilleurs équipements, puis il devient plus fort. Mais les missions deviennent de plus en plus difficiles aussi. Donc, c'est ça. C'était vraiment cool. C'était un bon style.
C'est drôle parce qu'avec ma gang de Donjon Dragon, on faisait une blague en parlant de ce jeu-là, puis en fait des anciennes éditions de Donjon Dragon dans la façon de faire des donjons. C'était que tu avais l'impression des fois, mettons, tu pouvais tomber sur une porte d'un placard, ouvrir la porte, puis là, il y a un orc. Puis là, on était comme, mettons, on imaginait la situation réelle. Genre, il y avait-tu vraiment un orc qui attendait, caché dans le placard à balais, genre juste que des aventuriers ouvrent la porte? Oui, puis il y avait des risques aussi.
Des fois, tu avais des coffres au trésor, mais la façon dont ça fonctionnait, c'est si tu décidais de prendre un trésor, tu piges une carte de trésor, puis des fois, les cartes de trésor, ça peut être une meilleure épée, une potion de l'or, ou ça peut être un monstre. Donc, dépendamment de... Dans ta mission, il te reste combien de points de vie? Des fois, tu trouves un trésor, oui, mais est-ce que je le veux vraiment? Oui, non, c'est ça. Si je trouve un monstre, il m'attaque tout de suite, puis c'est ce que je meurs. Puis il y a des trucs aussi. C'est un bon jeu à racheter si vous êtes très nostalgique ou si c'est pour donner à votre enfant. Parce qu'en tant qu'adulte, il y a des trucs que tu joues, surtout comparés aux jeux maintenant, qui font aucun sens du genre, oui, les adversaires, les ennemis, mettons un gobelin, ça déplace de 10 cases. OK? Mais toi, en tant que joueur, tu lances 2D. Ça se peut qu'il y ait des tours, tu te déplaces de 2 cases. Ça se peut qu'il y ait des tours, que tu te déplaces de 12. Puis c'est un peu n'importe quoi, de ce côté-là. Il y a des, tu sais, où... Tu sais, il y a des stratégies de déplacement de... Hey, on va dire qu'on lance les D tous pour atteindre finalement cette position-là, parce qu'il n'y a pas de monstres, pis les monstres font juste attendre que tu les voies, tu sais? Tu sais, il y a des trucs comme ça. Mais dernier point, sinon, ça a été ma porte d'entrée vers l'univers de la peinture de miniature. Et je peinturais des petites figurines étant jeune à dix ans, pis je m'amusais, je sais que j'étais pourri, mais...
J'ai failli parler de Warhammer, mais ça aussi, moi, je pourrais faire un épisode au complet sur Warhammer.
Oh, yes.
J'en ai plein, des Warhammer, fait que I feel you, I feel you.
Warhammer, c'est toujours le truc que j'ai regardé de loin en me disant, il ne faut pas que je me rende à la dame, j'aurais plus d'argent. Exactement.
Ça coûte tellement cher.
Oui. Mais oui, HeroQuest, ça m'a tellement marqué.
Ma dernière catégorie s'appelait Toujours plus de stratégies et de tromperies. Le premier jeu que je vais nommer dans cette catégorie-là, c'était Citadel. Oui, c'est un jeu où il y a une légère asymétrie, pas énorme, c'est juste les rôles dans le fond. Il y a quand même des rôles, genre le roi, le constructeur, je ne sais plus trop quoi, qui sont sur des cartes. Puis là, au début de chaque tour, il y a une personne qui commence, qui choisit un rôle, qui passe le reste des rôles à un autre. L'autre choisit un rôle parmi ceux qui restent, puis il passe le rôle, puis ainsi de suite. Puis à chaque tour, tu changes ton rôle. Puis genre, le roi, c'est celui qui commence le tour. T'as le constructeur qui doit avoir des avantages pour être capable de construire certains bâtiments, puis etc. Fait que citadelle, le but, c'est que tu construis ta citadelle. Mais c'est juste que tu avais ce concept-là que tu changeais de personnage en fonction de ce qui allait plus arranger ta stratégie ou pas, mais tu avais aussi le concept de... Là, tu remarques que telle personne a l'air d'avoir besoin de tels personnages pour son prochain tour. Tu peux faire le choix stratégique de décider de prendre le personnage avant elle pour pas qu'elle soit capable de bien faire son tour. C'est ce concept-là d'essayer de bloquer les autres. Je me rappelle, je pense que ça a été vraiment ce jeu-là où j'ai fait comme, ah, c'est cool. Puis tu changes souvent de rôle aussi. Fait qu'il y avait comme une espèce de rejouabilité intéressante où tu te disais, la prochaine partie que je vais faire, ce sera pas la même.
Puis j'imagine que c'est également pareil, différentes les stratégies selon avec qui tu joues, parce que t'es des joueurs qui vont jouer que pour eux, puis t'es des joueurs qui vont jouer que pour foot, le bordel.
Exactement. C'est ça, un petit jeu dans cette catégorie-là, j'en ai un deuxième après ça qui...
Ouais, vas-y, vas-y.
Ah, j'y vais? Moi, il m'en reste deux au total. Vas-y, fais-en, fais-en.
OK. Ça s'appelle Seigneur de guerre, version française de Bleeders of War. Non, Battle Masters. Battle Masters, c'est un jeu qui se jouait sur le sol, sur le tapis du sous-sol, sur un genre de tapis de jeu en... un genre de plastique. Je ne sais pas trop c'était... c'était quoi, mais c'était un tapis de jeu qui mesurait 1 mètre 37 par 1 mètre 52. Donc, c'était quand même grand, surtout à notre âge, c'était comme... tu sais, c'était nous, mais au carré. Tu sais, c'était vraiment big, c'était des cases hexagonales qui représentaient un champ de bataille avec une rivière. Donc, en gros, c'est du combat fantastique, médiéval, bref, pas trop loin de HeroQuest. Et donc, il va avoir des figurines qui vont s'appeler Quelque chose du chaos. C'est encore le classique. Il y avait deux factions, les humains versus les forces du chaos. Je pense que les humains, c'était comme l'empire humain, l'armée impériale ou je ne sais pas quoi.
Ça sonne un petit peu Warhammer à date, la façon dont tu écris ton jeu.
Je pense que autant HeroQuest était une introduction à Donjon Dragon, j'ai l'impression que c'était une introduction à Warhammer. Donc, c'était des causes hexagonales, puis tu devais déplacer tes plaquettes de troupe. Donc, tu avais une plaquette d'archers, une plaquette de soldats, une plaquette de chevaliers. Puis, les deux factions, il y avait des... disons, dans les méchants, des méchants, on dit, les méchants. Les forces du chaos, tu avais les loups, les orques, les gobelins, chevaliers du chaos, ogre. Ogre, c'était une unité spéciale. L'ogre était vraiment difficile à abattre. L'ogre était vraiment fort. Mais l'ogre, ça ne se jouait pas comme les autres unités. L'ogre, tu avais un deck de cartes que c'était... ça déterminait si l'ogre allait bouger ou si l'ogre allait attaquer et dans quel ordre. Et donc, tu avais trois cartes de l'ogre bougent et trois cartes de l'ogre attaquent. Donc, si t'étais mal chanceux et tu voulais que l'ogre avance vers une troupe ennemie pour l'attaquer, mais que tu pigesais tes trois attaques avant de piger tes moves, ton tour ne servait à rien.
Ah, OK, ouais. Il était un peu incontrôlable.
Exact. Puis tu ne pouvais jamais décider qui tu déplacais parce qu'à tour de rôle, tu pigesais une carte, puis la carte te disait qu'elle est une unité et tu bouges. Donc, il y avait ça aussi dans les stratégies. Il fallait que tu mémorises lesquels ont pas encore bougé, lesquels doivent bientôt sortir, etc., etc. Les humains avaient un canon. Le canon, c'était aussi leur unité un peu étrange. T'avais des grosses rondelles en carton, puis tu devais les mélanger. Puis là, tu décidais où tu visais. Et plus tu visais loin, plus il y avait de chance que tu te rendes pas.
Ça te dérive. Ouais, OK, OK, oui.
Donc, tu placais tes rondelles sur les hexagones, puis une après l'autre, tu les retournais. Puis soit le boulet de canon volait dans les airs, soit il faisait un ricochet par terre, il faisait des dommages à l'unité qui était là, soit il explosait. Puis quand il explosait, je pense qu'il tuait l'unité sur laquelle il explosait d'un seul coup. Ça se peut que ce soit ton unité. Tu sais, si tu peux te tirer par-dessus toi-même.
Ça fait qu'il y avait le côté stratégique. C'est très Warhammer quand même, là, je dois dire.
Puis c'était vraiment cool. Puis il y avait une grosse tour en plastique que tu mettais. Puis quand les troupes allaient sur le dessus de la tour, il y avait un avantage au combat avec des dés. Des têtes de mort et des boucliers dessus. C'était vraiment cool. Puis encore une fois, ça a joué dans mon imaginaire de petit garçon, un peu un univers à la Warhammer, à la Seigneur des Anneaux. C'est fantastique. Je ne sais pas le genre. Donjon Dragon et compagnie. Donc ça m'a vraiment marqué. Puis c'est un jeu qui appartenait à The North. Il nous écoute en train de faire comme ça.
Toujours le même galopin de North.
On est amis depuis qu'on a six ans. Non, c'est cool.
Depuis que vous avez six ans, c'était en 1947.
C'était en 1927.
Toujours une petite pointe à Étienne.
C'est obligatoire.
Il y a l'autre papa qui rappelle à Étienne à chaque fois qu'il l'a trahi à risque. Puis moi, je rappelle à chaque fois à Étienne que je suis plus jeune que lui. C'est ça.
Ouais, mais chez les gars, je suis plus haut niveau que toi. On va le voir comme ça.
Ça, c'est vrai. Puis dans ma catégorie, toujours plus de stratégies et de tromperies, le deuxième jeu que j'ai nommé est Wanted. Désormais appelé Bang.
Ah, ouais.
Mais la première version, c'était Wanted. C'est un jeu...
Est-ce qu'il y a des différences entre les deux versions? Non, aucune.
C'est juste le nom qui a changé.
Est-ce que c'est parce qu'en anglais, c'est Wanted, puis en... Ah non, je me sens bien en anglais.
Non, parce que je l'ai acheté dans un jeu en France, fait que doute-toi que... Bien qu'on est bon pour retraduire des fois... Oui, vous traduisez avec des mots en anglais. Very bad trip. Je sais, je sais. Mais je suis persuadé que maintenant, le jeu s'appelle juste Bang, puis c'est tout.
OK. Ah, c'était peut-être une raison de poursuite. Peut-être.
Peut-être, ça se peut. C'est un jeu, encore une fois, avec des rôles, mais qui sont cachés, sauf pour le shérif. Dans le fond, t'as des shérifs, t'as des adjoints, t'as des bandits et t'as un renegat. Donc, les bandits, ce qu'ils veulent faire, c'est tuer le shérif. Les adjoints veulent absolument aider leur shérif à abattre le bandit. Les bandits, pardon. Mais le shérif ne sait pas qui est autour de lui, parce que tous ces rôles-là sont cachés. Au début, le shérif, c'est le seul à chercher un peu ses alliés et ses ennemis. Les autres savent un petit peu plus où se situer. Puis un renegat, lui, veut tuer le shérif aussi, mais il veut être un peu le last man standing. Il veut avoir tué ou aidé à tuer. Il ne veut plus qu'il y ait de bandits autour de lui avant de tuer le shérif, dans le fond. Puis en plus de ton rôle caché, tu avais des cartes de personnages qui te donnaient des avantages, genre Billy the Kid ou d'autres grands noms de Kid Kassidy ou je ne sais plus c'est quoi le nom exactement. Mais bref, il y en avait plein des grands noms. S'en suivait une partie au tour par tour qui te permettait, avec des cartes, de poser des armes pour avoir une certaine portée de tir, d'acquérir des chevaux pour augmenter la distance des autres joueurs, de tirer, d'éviter des coups, de regagner de la vie en buvant au bar, d'organiser une piche commune dans le magasin avec tous les autres joueurs, de déclencher des attaques d'amérindiens, voler des armes ou des chevaux à d'autres joueurs, et surtout, allumer la dynamite. C'est le truc le plus le fun dans ce jeu-là, au final. Une fois que tu allumes la dynamite, au début du tour de chaque joueur, on pige une carte si la couleur est celle de la dynamite, elle explose et souvent, ça veut dire la mort instantanée du joueur. Sinon, tu passes la dynamite au suivant et ça continue jusqu'à ce qu'elle explose. Moi, ça, ce truc-là, j'adorais ça. Cet élément de randomness qui peut foutre en l'air toute ta stratégie, j'adorais ça. Fait que, ouais, dingue.
Goof m'a introduit à ce jeu-là.
Ah ouais.
Notre astronaute Goof. D'ailleurs, je pense qu'on serait dû pour se refaire une soirée de jeu de société avec nos astronautes. On lancera l'invitation. Tout à fait.
Et toi, mon cher Etienne, ton dernier jeu.
Moi, si j'avais donné une catégorie, parce qu'apparemment, il fallait venir avec des catégories, puis moi, je n'en ai pas apporté. Alors, la dernière catégorie, c'est WTF. Oui. C'est un jeu que... Tout sûr, avec qui on a joué à ça, ça les a marqués, parce que ça avait l'air impossible à jouer, mais en même temps, les règles qu'on avait compris du jeu rendaient ça vraiment, vraiment, vraiment amusant. C'est un jeu qui s'appelle pas l'économie.
Pas l'économie, OK.
Pas l'économie. OK. Imagine une planche de Monopoly. OK? Donc, tu sais, le principe d'avoir des cases qui tournent en rond. Donc, imagine que tu as des cases qui tournent en rond comme ça. Sept cases par neuf cases. Donc, sept, neuf, sept, neuf, tu as fait un tour. Imagine qu'à chaque coin, t'as une case supplémentaire qui part en diagonale vers l'extérieur. OK. Puis, autour de ça, t'as un autre, comme... un autre tour de cases. Dans le fond, t'as comme un rectangle dans un rectangle rejoint aux quatre coins par une case. Et en tout, t'as 80 cases. OK? Et ça, c'est la planche de jeu. Puis, tu peux aller dans la direction que tu veux. Tu peux, tu peux, bref, tu peux, tu peux... Ben, il me semble que tu peux aller dans la direction que tu veux. En tout cas, nous, on joue comme ça. Puis, tu peux te promener, puis acheter des compagnies ou des publicités. Et c'est un jeu qui combine la politique à l'économie.
D'où le nom, pas l'économie.
Au centre de la planche de jeu, t'as le côté politique. Donc, t'as des chiffres, OK, de 1 à... Je ne me rappelle plus. On va dire que c'est 11, 12, je ne sais pas, ou 15. Mais qui tourne en rond, donc 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, puis qui retourne dans la direction opposée. Donc, un coup que t'as atteint, le chiffre le plus élevé, disons que c'est 15, ça redescend, OK, bon, 13. Puis là, ça passe à 12, ça passe à 10, ça passe... Puis ça revient à 1 au final. Puis ça, c'est comme la gestion de... C'est comme la Banque centrale du Canada. D'ailleurs, c'était le jeu du Canada. On l'avait la version canadienne. Le jeu à l'origine, je pense que c'est néo-zélandais ou australien, un truc comme ça. Et donc, c'est comme la Banque centrale qui décide du taux directeur. Et selon l'économie, selon l'inflation, selon ce qui se passe quand tu joues, ça fait bouger l'économie. Mais toi, si t'es le premier ministre parmi les joueurs, parce que oui, il y a des élections en plus, tu décides de la direction où le token qu'on met sur les chiffres va aller. Donc, soit tu vas aller dans le sens contraire de la direction de la monde ou dans le sens de la direction de la monde, selon tes besoins à toi, selon les compagnies que tu possèdes, selon si tu as des bons dépens ou des trucs comme ça.
Etienne, on remplace tous les systèmes d'élections au monde par une partie entre les aspirants dirigeants d'un pays. Celui qui gagne, gagne le droit de diriger le pays pendant quatre ans.
Et c'est ça le problème. Tu viens de mettre le doigt sur le problème. Parce qu'on ne savait jamais comment le jeu pouvait finir. Le jeu ne finissait jamais. Parce que tu ne faisais que t'enrichir. Parce que plus tu as de l'argent, plus tu as de l'argent.
Ben oui, c'est ça.
Et donc, le jeu te montre ça. Le jeu t'apprend ça. Puis le jeu t'apprend également que si tu contrôles en plus l'aspect politique, tu vas juste t'enrichir. Et c'est drôle parce que pour des enfants de 10-11 ans qu'on était, qu'on jouait à ça, on prenait un malin plaisir à s'enrichir. Et même, je te dirais, c'était malsain. Il y avait des billets. Tu sais, c'était pas des billets de 1 $, 5 $, 10 $ comme au Monopoly, des tout petits billets plein de couleurs. Non, non, non, non, non. C'était des billets de taille réelle.
Des billets de banque.
Et c'était des billets... La plus petite coupure, c'était 10 000 $. Et la plus grosse coupure, c'était 1 million de dollars.
Dépendant des pays, Etienne, des fois, 1 million, ça vaut pas grand-chose.
Non, mais là, c'était des dollars canadiens, là.
Dollars canadiens, ça vaut pas grand-chose, Etienne.
Snow pesos, exactement. Mais tu sais, c'était drôle parce que... C'est ça que personne ne perdait. Tout le monde avait du fun. Puis là, il y en avait qui... Ah, moi, ma stratégie, si je prends des bonnes épargnes, j'espère que le taux d'intérêt va être élevé. Je vais m'arranger pour que le chiffre soit élevé. Puis là, il y en a d'autres qui... Non, non, non, je vais payer moins de taxes. Alors, je veux avoir beaucoup de compagnie, mais je veux dire, bref, mais c'était drôle, puis on ne comprenait rien, mais c'était un jeu qui était bizarre, c'était un jeu qui était spécial, puis c'était un jeu qui était sans fin, puis ça a marqué tout le monde, juste parce que c'était étrange et différent. C'était gigantesque aussi, le board était vraiment cool. C'était cool. Oui, oui, oui, oui, oui.
Très nice. Oui, c'est ça. Si j'avais à résumer, pour moi, je vais le faire, puis tu me dirais si tu en penses pour toi. Ce qui m'a vraiment marqué quand j'étais jeune, c'est que j'aime toujours aujourd'hui, parce que je l'ai développé quand j'étais jeune, mais il y avait le côté stratégique, il y avait le côté un peu tromperie slash bloquer les autres. Mais ce que j'aimais dans les jeux en général, c'était, il y avait des moments de aha! , genre je ronds notre alliance ou je ne suis pas le rôle que tu pensais que j'étais. Toutes ces choses-là, moi, j'adore ça. J'adore ça, avoir l'espèce de patate de aha! J'étais pas là de jouer un shérif, j'étais le renégat! Tu sais, genre, j'adorais ça.
Ben, tu sais, tu es comme Scooby-Doo, tu vois. C'est comme Shocking Twist, c'était le maire, tout ce temps-là.
Et voilà! Je retire ma face, puis…
Oui, exact. Moi, c'est drôle parce qu'il y a deux jeux sur quatre que j'ai mis là-dedans, que c'est… C'est basé sur du réel, et tu sais, comme économie, politique, guerre mondiale, whatever. Puis l'autre côté, c'est comme, oublie tout ce qui est réel, on y va dans le super fantastique, dans le jeu drôle.
Mais en même temps, dans des grandes références de jeux drôles, ce n'était pas des petits jeux de… Oui, oui.
Puis tu sais, c'était aussi un peu, je te dirais, mon point d'entrée après vers Lord of the Rings et compagnie, juste parce que c'est tellement cool, c'est tellement cool l'univers fantastique inspiré de Tolkien. Non, c'est… C'est partout maintenant, là. C'est partout. Tout est basé là-dessus. C'est vraiment cool. Yes, j'adore ça.
J'adore ça. Bonjour chéri. Merci, chers astronautes, de nous avoir écoutés. Oui. Sachez que vous pouvez toujours nous donner une petite note de cinq étoiles, par exemple, sur la plateforme que vous utilisez pour nous écouter. On est sur Spotify, Apple Podcasts, YouTube, Deezer.
On est officiellement sur Deezer, mais officiellement sur Amazon Music.
Amazon Music, mais il n'y a pas grand monde. Parlez-en à vos amis qui sont sur ces plateformes-là, les quelques personnes qui sont sur ces plateformes-là, puis dites-leur d'aller s'abonner.
Oui, parce que soit on est à la merci de l'algorithme, soit on vous remercie de parler-nous, parce qu'il y a une bonne différence quand vous parlez-nous. On voit les chiffres monter, puis on est vraiment contents. Puis ça monte, ça monte, c'est vraiment le fun. On fera un petit topo sur la situation du podcast au prochain épisode, parce que ça va faire un an.
Oui, ça va faire un an. High five, virtuel.
High five, high five.
Et puis n'hésitez pas aussi à parler de nous autour de vous. Quand vous mettez des musiques de Noël, mettez un petit épisode en même temps, un petit épisode de Baptiste Etienne dans votre salon au moment de Noël.
Cet épisode-ci va être diffusé en janvier.
Ah, merde, au prochain Noël 2025. Pour la chandler, les crêpes, pour le Pâques.
Pour la Saint-Valentin. Hé, chérie, je bosse ça. Parfait. Et sinon, on a le site web www.jadorecapodcast.com. Vous allez pouvoir accéder à notre Discord à partir de là. Vous allez pouvoir accéder à notre boutique. Si vous voulez aider à financer le podcast, parce qu'on est très déficitaires, sachez-le, on fera un topo là-dessus. Ça va être drôle. Mais j'adore ça, podcast.com. Tous les liens sont là. On se dit à la prochaine, Baptiste.
À la prochaine, Etienne.
Et on se dit à la prochaine, chèrs astronautes. Bye!
Bye!