Comment fonder et bâtir une ville parfaite
On fait un exercice de futurologie! À l’aide de pouvoirs infinis, on a la tâche de créer la ville parfaite. Nos solutions passent entre autres par le transport, l’énergie, l’écologie et la densification intelligente. On fait la comparaison avec le projet de la ville de Telosa. On tente également d’ajouter des éléments de science fiction à notre concept de ville.
Également, on parle du film Nowhere Special, du film québécois 1995 de Ricardo Trogi, de youtubers dont Cyprien, de la série télé The Great, de la nouvelle série de Star Wars Skeleton Crew, du flop Borderlands et finalement de la musique des années 80 dans les films modernes.
Transcription de l'épisode
Contient des erreurs car générée par IA.
Baptiste, je ne sais pas si c'est la lumière qui est derrière toi, mais tu as comme un aura. C'est bizarre. Tu as un aura autour de toi.
Ah ça doit être parce que j'ai croisé un doud qui m'a dit que pendant une journée, lui, il partait en vacances puis il nous laissait ses pouvoirs pour gérer toute une ville. Ça te tente-tu?
Oui.
Let's go.
Ok, roule ton initiative, Baptiste. C'est parti.
Oh, ça part fort.
Ça part fort. On roule notre dévain tout de suite.
Hé, j'ai encore neuf. Non, c'était toi qui avait neuf.
J'ai encore neuf, moi aussi.
Bon, faut rerouler.
Ouais, ok, on reroule. Oh god, non. J'étais correct, j'étais safe. Cinq aussi? Non, John.
Non, je pense non. Tu sais, c'est comme les histoires des particules que tu sépares, mais que peu importe dans quel sens elles tournent, genre, elles continuent à tourner toujours dans le même sens.
Quantum entanglement.
C'est ça, quantum entanglement. Merci.
Regarde, un troisième lancer, c'est parti.
Magelda qui est en plein milieu du 12, du 18, puis du 20.
Ah ouais. OK, OK.
Tu sais, ton dé est étrange.
Je vais comparer avec d'autres dés une prochaine fois, on s'entend? Voir si c'est le niais qui est étrange. Mais ouais, je trouve ça un peu weird qu'il soit à côté du 3.
C'est drôle, j'ai juste des 2, des 3 et des 8 sur toutes mes faces.
Mais en fait, il y a un angle où je peux regarder le dés, puis il n'y a que des chiffres de 1 à 10.
Ah, intéressant.
Donc, ouais, OK. C'est comme si ça devenait plus facile de tricher avec ce délai. OK, donc bref.
Oui, c'est ça.
Donc, t'as l'initiative ce coup-ci, Baptiste? Oui, j'ai l'initiative.
J'ai l'initiative. Mais là, là, je veux commencer par qu'est-ce que j'ai regardé récemment? J'ai regardé, j'ai regardé un film qui s'appelle Nowhere Special.
OK. C'est américain? Non, un film du UK.
Puis tu sais, je t'avais parlé à un moment donné une série qui s'appelait Happy Valley, OK? Qui était comme une série policière du UK. Et puis, il y avait un acteur là-dedans qui jouait comme le, c'est pas le méchant, je dis ça, mais c'est juste quelqu'un qui a des problèmes dans sa vie. Et c'était, bref, puis je trouvais que cet acteur là était très bon, mais ça vèrent que cet acteur là semble être quand même assez connu au Royaume-Uni, puis s'appelle James Norton, puis c'est l'acteur principal de ce film là, Nowhere Special. Le synopsis, c'est, puis là, tu sais, je te vole aucun punch, parce que c'est dit dès le début du film, mais dans le fond, c'est un père qui cherche une famille d'accueil pour son fils, parce qu'il va bientôt mourir. Mais OK, c'est, mais c'est pas, c'est pas genre, ben je sais qu'il y en a que ça peut rebuter un peu les choses très tristes de même, mais c'est vraiment un très, très bon film. C'était super bon.
Il faut être dans un mood spécial.
Oui, ben oui, mais tu sais, des fois, moi, j'aime ça. J'aime ça brailler devant les films. C'est une émotion que j'aime vivre. Quand un film réussit à me faire pleurer, c'est, j'aime quand même ça, j'aime beaucoup ça.
Je dois dire que si tu me m'offres de choisir entre avoir peur ou être triste puis pleurer, c'est clair que je choisis pleurer là-dessus. Mais oui, j'ai googlé de manière sneaky l'acteur. Je ne dis rien du tout, c'est-à-dire, il est très, très bon.
Il est vraiment connu au Royaume-Uni, puis il est super bon, super, super bon. J'ai beaucoup aimé. Très, très cool.
Super. Nowhere Special.
Ouais. Nowhere Special. Toi, Etienne.
Je suis allé voir 1995 au cinéma.
Ah! Puis? Ricardo Trogi. Oui, Ricardo Trogi.
Garde, c'était le week-end de l'ouverture, ok, mais il y avait quatre cinémas qui le présentaient à Québec. Les quatre le présentaient pratiquement à la même heure, ok? Donc, c'est-à-dire sept heures. Donc, ce n'est pas comme s'il y en avait un à sept heures, l'autre à huit, l'autre à huit et demi, l'autre à six et demi. Tu sais, c'est comme tous les cinémas le présentaient pratiquement à la même heure. Je suis allé le voir avec ma blonde. La salle était pleine. Mais pleine. Pleine. Pleine au point où je suis allé. Normalement, je serais allé à mon cinéma de quartier, mais pour des raisons d'où est-ce qu'on était au moment où on a décidé d'aller voir le film. Bref, on n'avait pas le temps de se rendre. Mais je suis allé au Odeon, puis au Odeon, tu réserves tes places quand t'achètes ton billet. Puis, une des seules bonnes places qui restaient, c'était en avant, mais presque en avant complètement.
Tu pètes le cou par en arrière? Non, mais juste avant.
Juste avant cette limite-là. Mais c'était plein au point où les gens qui venaient voir le film n'étaient pas habitués au fait que les places sont réservées. Et c'était le bordel. Là, t'arrivais, puis là, il y a quelqu'un qui prenait ta place. Puis là, t'étais comme non, non, regarde, j'ai le billet B4. C'est moi qui m'assois là. C'est moi, la banane en pyjama, qui va s'asseoir là. Puis là, le gars était comme, ben oui, mais moi, mon siège en haut, il y a quelqu'un d'autre qui l'a pris. Ben oui, mais là, c'est pas... Puis là, écoute, c'était le bordel. Puis c'est pas juste moi. On écoutait les conversations autour. C'était que ça. Les gens étaient pas habitués que la salle soit pleine comme ça. Ça regarde bien pour le cinéma québécois. C'est quand même cool.
Oui, c'est ça, la salle est bien remplie.
Oui, puis le film était bon. C'était bon. C'était égal aux trois autres. Pour ceux qui ne connaissent pas Ricardo Trogi, trouvez un moyen de voir les films. 1981, 1987, 1991.
En fait, tu parles surtout à notre crowd française parce que je pense qu'au Québec, c'est rare les gens qui ne connaissent pas Ricardo Trogi.
Oui, mais essaye de trouver les films. Bonne chance.
Tu veux dire les trouver pour les regarder? Oui, exact.
Souvent, les films québécois, ce qui se passe, c'est qu'ils passent au cinéma puis après, ils se paraissent.
Oui, c'est un enjeu ça. Il y a comme un problème de distribution de films après leur passage au cinéma en général pour les films de répertoire québécois. C'est quand même plate.
Oui, mais pour vrai, c'est un bijou. Je ne suis pas inquiet pour la santé financière de ce film-là. Et c'est drôle, c'est égal aux autres. Fortement recommandé, très très satisfaction.
J'ai eu toujours un bon feeling en regardant ces films-là. Je ne sais pas pourquoi. On dirait quelqu'un qui... Je suis quelqu'un de nostalgique à la base. À quelque part, il parle de tous ses souvenirs d'enfance, de comment il a vécu, etc. à travers ce film-là. Je trouve ça toujours très très bon de regarder ça.
Même d'un point de vue technique, il y a un truc qui dès le début du film quand même impressionné. Il y a une shot de la ville de Québec. Puis là, c'est écrit Québec, 1914. Puis tu vois, Québec telle qu'elle était en 94. Avec l'hôtel qui maintenant je pense c'est le Hilton, mais qui c'est le logo de l'hôtel des gouverneurs dessus. Puis bref, ils ont pris des photos références, puis ils ont refait Québec. Puis, comme ça change de plan, puis là c'est écrit comme Cinq fois, même année. Puis là t'as les Halles de Cinq fois, puis t'as les tiens. Puis, les souvenirs qui ont popé dans ma tête de, je veux dire, quand j'étais jeune, c'est vrai que ça ressemblait à ça. C'est vrai que le logo de tel truc était là, puis il était de telle couleur. Donc non, c'est cool, c'est un petit détail, mais quand tu viens de Québec, je ne sais pas, c'est spécial.
Oui, tout à fait, tout à fait. Tout à fait, c'est drôle ça. Puis je ne sais pas pourquoi, mais moi, des fois, ça me fait ça. Je regarde des souvenirs qui ne m'appartiennent pas, mais quand ils sont bien racontés, on dirait que je me les approprie quand même, puis ça me rend émotif pareil. Je ne sais pas pourquoi, je me mets à la place de cette personne-là qui me raconte ses souvenirs, puis il y a quelque chose qui m'emporte émotionnellement.
C'est de l'intelligence émotionnelle, ça, mon Baptiste. Tu es un gars très intelligent.
Ah bon, c'est comme ça qu'on appelle ça.
Je sais que ça fait très peu de temps qu'on s'est parlé.
Oui, mais je ne sais pas si c'est pour un regard barrière-scène. Oui, j'ai des choses à raconter quand même.
Oui, on triche. On enregistre trop tôt.
On enregistre trop tôt, mais oui, oui, oui, oui, oui, tout à fait.
Mais oui, quoi d'autre s'est passé? Ben, là dans le fond, il y a, je ne sais pas si tu as vu, connais-tu, bon, connais-tu des youtubeurs français?
Parmi les plus connus, je ne te ferai pas de piège d'un youtubeur qui est vraiment pas connu.
En fait, tu connais quelques-uns. Je connais Natoo, je connais Cyprien. Oui. J'en connais un autre que je nommerais pas.
Ben, on peut le nommer, c'est pas très grave.
C'est Norman.
Norman a sorti une vidéo il n'y a pas longtemps.
Ouais, je n'ai pas voulu aller voir.
Je suis allé la voir. Je suis allé la voir. Il raconte pourquoi il était dans le silence toutes ces années. Et c'est bref, les gens qui veulent aller en apprendre plus sur cette histoire là, il y a quand même eu des des accusations assez graves envers lui. Mais quand j'ai vu Norman faire cette vidéo là, lui, en fait, il annonce qu'il ne fera plus de vidéo. C'est ça, en gros, sa vidéo. Et là, j'ai eu une petite envie d'aller voir ce que Cyprien était devenu. Parce que quand j'écoutais Norman, j'écoutais Cyprien quand j'étais jeune. C'était l'un allé avec l'autre dans ma tête. Je suis allé voir Cyprien, puis j'ai découvert avec agréable sur peu, je le savais pas tant, que Cyprien, il fait pas mal de courts-métrages. C'est vraiment cool ce qu'il fait. Les deux minorits au Japon, c'est excellent.
C'est drôle parce que son style, pour ceux qui connaissent pas d'ailleurs, on parle de youtubeurs français.
Mais genre de l'ancienne école.
Oui, les premiers youtubeurs. Cyprien. Cyprien, il y en a tous. No Jokes ont toujours de loin été mes préférés. Puis Cyprien, un style, surtout ses courts-métrages, très, et là j'ai pas de mot en français pour ça, wholesome. Tu sais, c'est toujours comme tu vas te sentir bien après, c'est léger. Oui, oui. Non seulement il fait des courts-métrages, il fait aussi des bandes dessinées, je pense.
Oui, il fait des bandes dessinées. Je pense qu'il a même... Qu'est-ce que j'ai vu? J'ai vu une vidéo de lui qui parlait du fait qu'il avait été invité par le Carnaval de Nice à dessiner un char. Puis là, il a mis tous ses personnages préférés de Manga genre sur un dessin, puis ils ont reconstruit ce char-là genre dans le Carnaval.
Baptiste, là je sais que t'es comme mentalement en France, mais il faut que tu dises char allégorique ici, sinon tout le monde pense qu'il dessinait une voiture.
Non, un char allégorique, un char dans un Carnaval, un gros truc avec quatre roues qui présentent du monde.
Exact.
Il y a des princesses qui font bye bye. Ce genre de char-là, oui c'est vrai, j'oublie à chaque fois les chars. Pour nous, les chars, c'est soit des chars d'assauts, soit des chars dans les Carnavals, c'est tout.
Ou des trucs que tu mets quatre chevaux devant et tu t'enfouis et tu fais ya, ya, ya.
Ouais, c'est ça, fait que je suis allé revoir du Cyprien. Toi, as-tu autre chose à me partager? Ah oui, j'ai fini par finir The Great, j'ai fini par trouver une façon de regarder la fin de The Great.
Regarde, je redouble, je pèse mes mots, je réitère ma thèse, c'est une excellente série. Je vous la recommande fortement. Le seul truc, c'est qu'ils ont un peu échappé la dernière scène, côté artistique, pas côté story telling, mais côté artistique, ils ont un peu échappé la dernière scène. Ils ont fait un choix et bref, on regardait ça et on se disait, c'est peut-être juste nous, regarde. Je suis allé voir sur Reddit. Non, non, le choix était vraiment bizarre. Regarde, je vais vous le dire, ça se poilait rien, mais ils ont décidé que la dernière scène, c'était un des personnages, je ne le nommerai pas, mais un des personnages qui dansent sur du ACDC. Et on s'entend que sur une série qui porte sur Catherine the Great, l'impératrice de Russie dans les années 1700 ou quelque chose comme ça, on s'entend que ça ne fit pas. Puis ça fit encore moins du fait que c'est la première fois dans la série au complet qu'on entend de la musique qui n'est pas d'époque. Tu sais que ça ne fit pas avec le style. Puis là, c'est la dernière scène. Puis ça a donné l'impression, ça a donné vraiment l'impression que l'équipe qui fait cette série-là ont appris vraiment la dernière seconde, qu'ils ne se feraient pas renouveler pour une quatrième saison et qu'ils ont fait quelque chose. J'ai pas pu confirmer mon hypothèse en ligne. J'ai trouvé aucune information qui disait ça. Mais... En tout cas, mais sinon pour vrai, c'est l'acting est excellent, mais excellent. C'est impressionnant, fortement recommandé. Quoi d'autre de ton côté, Baptiste? J'ai-tu d'autres choses de mon côté, moi?
Si t'as rien, j'ai une question pour toi. Non, oui, j'ai rien.
As-tu vu la bande annonce de Skeleton Crew? Non. OK. Skeleton Crew, c'est une série de Star Wars qui s'en vient sur Disney Plus, éventuellement cette année. Je pense décembre ou octobre ou bref, à un moment donné vers la fin de l'année. C'est vraiment pour enfants, OK? On s'entend, c'est pour enfants. C'est un peu dans le style de Goonies, dans le style de... En fait, oui. Si Stranger Things n'avait pas la dimension horreur, ce serait un peu ça. OK. Ça a l'air cool pour les enfants. Pour vrai, ça a l'air cool. Je ne suis vraiment pas la clientèle cible, toi non plus. Mais c'est un truc que j'ai un peu trouvé étrange. Je parle à la bande-annonce sur YouTube. Puis là, je me dis, bon, il y a une pub. Puis là, je cherche comment la skipper. Puis là, après dix secondes de... Je ne trouve pas le petit bouton pour skipper. Je me rends compte que, ah non, c'est pas une pub, un pre-roll avant la bande-annonce que je veux regarder. C'est la bande-annonce que je veux regarder. Puis la raison pour laquelle j'étais convaincu que ce n'était pas Star Wars, c'est que ça commence dans une banlieue futuriste, certes, mais une banlieue. Et ça, c'est comme si, ok, film dans la, je sais pas moi, film dans la banlieue à quelque part, mais rend tous les éléments Star Wars-esque. Ok, il va avoir une trottinette, mais ça va être une trottinette qui flotte. Il va avoir des voitures, mais ça va être des voitures qui flottent, ça va être... Ça fait Jetson, ça fait... C'est weird.
Un peu comme les quatre dudes dans Book of Boba Fett, qui sont comme en scooter de...
Ouais, un peu comme ça, mais eux ils juraient vis-à-vis leur environnement. Là, c'est tout l'environnement qui jure vis-à-vis ce qu'on s'imagine de Star Wars dans nos têtes.
Fait que si on avait, mettons là, dans un univers hypothétique, qu'on aurait racheté la licence de Star Wars.
Un univers hypothétique de l'épisode précédent, oui.
Tu n'aurais pas fait ça? Disons que stylistiquement, j'aurais peut-être pris une autre décision, mais la série a l'air bien pour la clientèle cible.
Jude Law est dedans. Sinon, c'est quatre enfants, quatre ou cinq enfants, puis ils ont l'air d'avoir beaucoup de plaisir. Donc, regarde, tant mieux pour les jeunes.
Peut-être que je jetterai juste un œil, je pense, pour ça m'étonnant que je la regarde au complet, mais je jetterai peut-être un œil aux épisodes de voir de quoi ça a l'air.
Parfait.
Oui, oui, oui. Puis Outlaws qui s'en vient, mais ça on s'en parlera une prochaine fois.
Exact, Exact. Outlaws s'en vient, ça j'ai hâte. Il y a Borderlands qui est sorti.
Ah oui, hein.
Je sais pas si t'as vu, mais ils ont fait un film Borderlands.
Ah non, j'ai pas vu.
Et c'est probablement un des plus gros flops de l'histoire, des adaptations de jeux vidéo. Il y a eu un certain moment où sur Rotten Tomato, les critiques donnaient zéro.
Ok.
Ça a fini par monter à 6 %.
C'est toujours un peu pourri.
Oui. Il y a une tendance, je trouve, autant au cinéma que dans les jeux vidéo, de vouloir refaire Guardians of the Galaxy parce que c'est cool, parce qu'il y a différents types de personnages.
Avec toutes les toons.
Oui, dans ce style-là. Je ne sais pas, mais déjà, le fait que Guardians of the Galaxy ait fonctionné est quand même mystérieux. Je veux dire, c'était facile de rater ça. Suicide Squad a raté et Borderlands, on dirait, essaie de faire le même truc, le même truc très générique. Ils râtent leur coup également.
C'est un peu, c'est ça, c'est vrai, il y a quelque chose de... C'est fait un peu d'une gang un peu hors la loi ou à la limite. C'est vrai qu'il y a comme cette recette-là, on dirait qu'ils essaient d'être prises, mais à date à Guardians of the Galaxy, il n'y en a pas beaucoup qui ont réussi le coup de chapeau. Voilà, c'est ça.
Mais en plus, tu as la difficulté de faire une adaptation de jeu vidéo. Quoi que... On s'entend, c'est de plus en plus fréquent que certains studios réussissent. Fall Out, Arcane, The League of Legends.
Mais c'est des séries.
Oui.
Puis je ne sais pas si le fait que ce soit une série, ils se permettent de mieux plus prendre le temps d'installer les choses pour redonner le feeling de... T'es dans l'univers de Fallout. Fait que là, on a le temps de faire trois storylines en même temps parce qu'on a comme huit ou dix épisodes.
C'est pas faux.
Je ne sais pas. Peut-être quelque chose d'un temps intéressant aussi. Je ne sais pas.
Sinon, il y a eu le film de Mario.
Oui, c'est vrai.
Qui était une réussite. C'était bon. C'est bon. Mais par contre, il y a un truc, puis c'est une autre tendance. Tantôt, on parlait de ACDC, Highway to Hell. On s'entend que ça ne fit pas avec l'époque, mais ça ne fit même pas avec aujourd'hui. ACDC, je veux dire. Mais n'importe quel film fait par Illumination, donc n'importe quel film de Minions, puis même Mario, la quantité de chansons des années 80 qui te garoche là-dedans, pour aucune raison apparente. Moi, je veux comprendre parce que moi personnellement, ça ne m'attends pas. Même que ça fait le fin inverse, je roule les yeux un petit peu quand ça arrive.
Ils ont peut-être fait une étude de marché et ils se sont dit, notre cible c'est des gens d'à peu près tel âge. Qu'est-ce qu'ils appellent? Mais Mario!
La cible c'est les enfants.
Ben, c'est encore drôle. Je ne sais pas. Tu sais, c'est-tu vraiment tant les enfants que ça? Mario, ça fait longtemps que ça existe.
Ben, je ne sais pas. Il s'adresse à Gen-X? C'est quoi? Il s'adresse à...
Je ne sais pas. Je ne sais pas. C'est une bonne question. C'est vraiment une bonne question.
Ma blonde a dit probablement que le studio a les droits de ces chansons-là. Moi, dans ma tête, c'est peut-être, mais ils ont aussi des droits pour des chansons modernes. Peut-être que ça coûte moins cher. Puis ils sont vraiment cheap.
Ah, OK, ouais. Mais je ne sais pas si ça coûte moins. Ah, OK, ouais, parce que ça serait tombé dans le...
Dans le panier des...
Le panier du droit commun, je ne sais plus comment on appelle ça.
Non, non, non, le droit commun, c'est 95 ans maintenant. C'est délire. C'est un truc comme... 95 ans après la mort de l'Auteur. C'est ridicule. C'est rendu ridicule.
C'est... Trop, c'est trop. C'est ça, faut toujours y aller avec parcimonie. C'est ça le problème. On se fait bombarder de choses pendant trop longtemps. Puis là, on s'écœure. Ça, c'est plate.
J'aime pas ça.
Mais il y a quand même des bons films qui existent. Puis on adore ça.
On adore ça.
J'adore ça.
Là, avant de tomber sur le sujet principal, on a une clarification à faire. Tantôt, on a dit...
Qu'est ce qu'on a dit? Qu'on a triché un petit peu, puis qu'on enregistre trop vite.
Ça également, c'est pas faux non plus. On enregistre trop vite. Pour des raisons d'horaire, on a enligné deux enregistrements relativement rapprochés, ce qui fait en sorte qu'on n'a pas de questions d'astronaute, parce qu'on s'y est pris un peu de dernière seconde pour dire au monde comme Hé, hé, hé, hé, hé, fais-vous quelque chose? Donc, on n'a pas de questions à répondre de la part de la communauté, mais ça empêche pas qu'il reste un peu de place dans le Discord. Si vous voulez, vous amusez avec nous, puis venez nous parler, puis venez nous poser des questions, puis venez nous proposer des sujets. J'adore ça podcast.com. Le lien vers le Discord est là. Dépêchez-vous avant qu'on le ferme.
Exactement. Puis là, on est rendu à... Est-ce qu'on a passé le cap des 100 abonnés? Des 100 abonnés, ça fait beaucoup. 100 abonnés.
Oui, on est rendu... Aujourd'hui, on est rendu... J'ai vérifié, c'est 107. 107 abonnés, toute plateforme confondue, toute plateforme podcast confondue. Je compte pas Facebook, je compte pas.
Merci à vous les 107 de nous écouter. C'est vraiment... C'est inespéré.
C'est inespéré, en effet.
Je pouvais pas croire que juste jaser avec mon pote Etienne, ça attirerait autant de monde.
Mais je trouve ça d'autant plus plaisant jaser avec toi sur le podcast, parce que je sais aussi qu'on parle à d'autres mondes.
Oui.
C'est comme si on avait une grosse conversation de groupe d'amis.
Ce que vous savez pas, peut-être pour certains d'entre vous, en fait peut-être que vous le savez, mais vous ne nous l'avez jamais partagé, mais il y a certains d'entre vous qui nous écoutez et qui participez aux discussions même si on ne vous entend pas, qui ont le goût de nous répondre, qui ont le goût de débattre avec nous sur des avis qu'ils ont. Et en passant, si vous voulez venir donner ces avis sur le Discord ou nous écrire pour nous le dire, ça nous fera toujours plaisir d'avoir des avis sur nos épisodes.
On a aussi reçu notre premier commentaire de haine. Commentaire de haine? Sur YouTube, oui. Il y a quelqu'un qui a écrit sur l'extrait où on parle de la relativité du temps puis du fait que... Puis qui a écrit qu'il a perdu deux minutes de sa vie en regardant le short qu'on a fait.
Ah oui? Et oui.
Ce qui est drôle, c'est que ça veut dire qu'il l'a regardé au moins deux fois. Parce qu'un short peut pas être plus long qu'une minute. Ce qui est encore plus drôle, c'est que c'est un short sur la relativité. Le temps, c'est relatif. J'ai vraiment envie de répondre, mais je ne voulais pas. Attends, attends, attends.
As-tu vraiment perdu deux minutes ou sur, mettons, la célérité? Comment as-tu réparti ton temps et ta vitesse de déplacement? Je savais pas à quelle vitesse t'allais. C'est ça, c'est exactement ça. Oh là là, mais écoute, on n'est pas des experts, mais on a ben du fun en tout cas. Ça c'est bien cool.
Puis je dois dire, je dis, on a reçu notre premier commentaire à NU. Bon, moi, ça me fait bien rire, mais on a aussi reçu des commentaires. Il y a quelqu'un qui a commenté sur un des épisodes ou un des extraits. Oui, l'extrait où je parle de la musique de Gerudo Valley au concert. Ah oui, oui, c'est vrai. Il y a quelqu'un d'autre qui était dans la salle de spectacle et qui a commenté sur cette capsule-là. Apparemment, j'étais pas le seul à la capoter, on était deux. C'est quand même cool. Bref, n'hésitez pas à venir nous écrire. On aime ça. On aime vraiment ça vous lire.
Vraiment. Pour tous les commentaires. Ça peut être aussi de l'amélioration constructive que vous nous faites. Il n'y a pas de problème.
Combien de minutes de votre vie avez-vous perdu à nous écouter tous ce genre de commentaires là? T'es arrivé un peu avec une curveball Baptiste? Je ne m'attendais pas à ce genre de sujet là.
Ah! Ah! Intéressant! Oui, oui, parce que dans ce qu'on avait déterminé comme zone pour notre podcast, il y avait films, télé, jeux vidéo, jeux de société, technologie, science, science-fiction.
Puis là t'arrives avec un peu de futurologie slash god mode.
Ouais mais ça peut être vu comme de la science-fiction? Exactement.
Comme pour le sujet de la musique, ça a comme flip floppé dans ma tête à me dire comme, mais moi personnellement, je me sens pas à l'aise à parler de ça. Jusqu'à ce que je me dise, attends un peu loin, j'ai des idées. Jusqu'à ce que je me redise, ah non, attends un peu, non, ça n'a aucun sens, je peux pas avoir une conversation sur ce sujet-là, je connais rien. Jusqu'à ce que je reflip. Bref, puis là, on en est là aujourd'hui. J'ai surtout hâte de t'entendre, toi. Puis t'as l'initiative, ça tourne bien.
J'ai l'initiative, j'ai l'initiative. Je vous rappelle qu'on s'est fait donner par quelqu'un des pouvoirs pour gérer une ville, mais vraiment, comme disait Etienne, comme si on était un dieu, on n'a pas de limites. Tu sais, oui, on pourrait voir comme si on avait l'interface de SimCity entre les mains, mais sans aucune limite. C'est notre imagination, on l'a rendu là quasiment, qui pourrait nous pousser à faire absolument ce qu'on veut avec avec cette ville. Comment est ce qu'on ferait la ville parfaite selon nous, ou la ville parfaite, ou la ville où on a l'impression qu'il se serait cool de vivre pour x ou y raisons. J'ai beaucoup pensé à ça. Il y a beaucoup de choses qui sont en lien avec soit le peut être le logement, le transport et l'environnement. C'est beaucoup. C'est ça. Je trouve ça intéressant. C'est parce que tu peux en trouver dans des oeuvres de sci-fi, des références à des types d'idées de même, ou même dans de l'urbanisme d'aujourd'hui des concepts, mettons, qui sont faits, par exemple, je dis n'importe quoi, en Norvège ou dans les pays nordiques en Europe. Ils ont toujours des bonnes idées.
Toujours.
Il y a un mix de tout ça que j'ai essayé de placer. Je pense que j'ai mis des trucs un peu plus funky à la fin. En tout cas, on verra. On verra où est-ce qu'on se rend avec ça. De toute façon, n'hésite pas à jump in avec tes idées aussi si tu vois que ça fit dans le concept. Parce qu'on construit ensemble, Etienne. C'est ça qui se passe.
Let's go. Quand tu m'as écrit, tu m'as dit, imagine, on a l'interface de SimCity, et on doit construire une ville à partir de rien. Qu'est-ce que tu fais? Je te jure. La première pensée que j'ai eu en tête, c'est il y a un menu désastre. Et là, je me suis dit, attends, non, non, non, j'ai une idée. J'ai une idée. On met des éoliennes à la grandeur. Puis on met désastre et on met Ouragan, et on fait de l'argent en faisant être tristé. Imagine la quantité d'énergie qu'on va produire.
Ah, c'est bon.
Puis là, ta ville voisine a besoin d'être tristé. Regarde, regarde, regarde. Ça spin, ça fait l'énergie. Et let's go, let's freaking go.
Ah, c'est bon. C'est tout, c'est tout ce que j'ai noté pour le sujet.
C'est la fin de J'adore ça. Non, c'est pas vrai. Mais je te jure, c'est le premier point que j'ai noté.
Ce que j'aime en plus, c'est que tu dises c'est la fin de J'adore ça, comme si cet épisode est trop court et ça met fin au complet au podcast. Il n'y a même plus d'épisodes après ça. C'est une fille.
La blague était trop mauvaise.
Fini, complètement fini.
C'est terminé, c'est terminé.
Mais OK, mais les éoliennes, il faut garder cette idée-là par contre. Je pense que c'est pas une mauvaise idée, moi. Je pense que c'est pas une mauvaise idée.
Il y a un truc avec SimCity que je trouve vraiment cool, c'est que ta ville est autosuffisante.
OK.
Tu dois générer ta propre électrie. C'est pas vrai. Tu peux payer pour outsource ta production d'électricité, mais le jeu veut pas ça. Le jeu veut que tu génères ta propre électricité, que tu trouves ta propre potable, que tu dois tout faire toi-même. Et ça, je trouve ça vraiment cool comme principe pour une ville. Et je pense que la ville de l'avenir, ça devrait être ça. Et ceci inclut l'accès à Internet tant que moi.
Oui, oui.
Qui devrait, tu sais, je veux dire, c'est un bien nécessaire. C'est un service essentiel.
Tout à fait, tout à fait.
Internet municipal, faudrait qu'on trouve moyen de générer des interwebs.
Des interwebs. Des interwebs. Ah, c'est bon ça. C'est bon ça d'avoir un Internet un peu plus... Non, c'est pas vrai. Excuse-moi, j'allais dire un Internet plus local. Pas pour dire qu'on est comme dans un silo et qu'on n'est pas rattaché au reste du monde, mais qu'on est comme cette possibilité en effet que toute la population ait comme accès à Internet, mettons, puis qu'on est peut-être même des... On pourrait avoir notre propre... Je sais pas là, c'est pas le bon terme, mais on pourrait avoir notre propre subreddit. C'est comme notre réseau à nous de la ville, genre, puis les gens échangent tous là-dessus pour plein de genres de besoins, un peu comme les choses de Marketplace, puis les affaires d'eux-mêmes, je sais pas là.
Ah, mais ils vont se plaindre là-dessus, mais s'ils se plaignent trop fort, on a un menu désastre, je vous le rappelle. Faites-nous pas chier.
C'est bon. À chaque fois qu'on pense que finalement, on pense avoir... On nomme des idées, on nomme des idées, là on attend un bout où on se dit, Ça se peut que ça a chié. Non, mais on a le menu désastre. On rase tout. On recommence.
On recommence.
Puis là, le gars va revenir au bout d'une journée puis il va dire, Voyons, qu'est-ce que vous avez foutu avec ma ville? Mais je crois quand même que, t'sais, il me semble que j'avais entendu l'histoire.
Puis là, j'ai cherché. J'ai essayé de retrouver le nom de la municipalité, mais il me semble que j'avais entendu l'histoire d'une municipalité au Québec qui a décidé, qui était comme relativement éloignée puis qui était cher Internet haute vitesse puis qui était difficile à convaincre les compagnies de venir installer la haute vitesse. Puis ils s'étaient organisés eux-mêmes finalement. Puis, ça a fini qu'ils ont un accès à Internet pour tous leurs citoyens qui coûtent aux citoyens 10 fois moins que toi et moi on paye pour Internet. Juste parce que c'est la ville qui le fournit. Puis, au final, la ville essaie pas de faire des profits.
Ah, c'est ça, exactement.
Donc, imagine, dépendamment de la population de notre ville, on pourrait avoir un bon pouvoir là-dessus pour fournir Internet pour pas cher.
Ah, c'est bon ça. J'aime ça. J'adore ça. Moi, j'aurais dit aussi une chose. Ça, cette idée là vient de un petit peu de le cycle des robots de Asimov. Il y a un de ces livres dans le cycle des robots, je pense, c'est six livres. Il y en a un, c'est le troisième, je pense, qui s'appelle Les Cavernes d'Asie. Ça fait référence au fait que tous les humains pour habiter se sont enterrés sous terre parce que la surface était comme plus vraiment habitable. Moi, je veux pas enterrer les humains, je veux pas enterrer notre ville.
Les humains qui sont restés sur terre, on s'entend avec des spaceurs qui sont bambants.
Je veux pas enterrer les humains, je veux pas enterrer notre ville. Par contre, j'enterrerai tout ce qui est des autos puis des camions, puis toutes ces choses-là qui peuvent se déplacer sur des grandes distances, probablement pour la majorité du temps sortir de la ville. Ça serait pas pour des déplacements en centre ville que je ferais ce genre de réseau souterrain-là, mais ces infrastructures-là, genre des routes, puis des autoroutes, puis etc. Moi, j'enterrerais ça, puis je couperais ça de nos vies, genre où on a juste besoin de marcher, prendre des vélos, des tramways, des bus, etc. Puis là, en réfléchissant à ça, c'est pas pour dire que la ville d'où je viens est parfaite. Bon, je viens de sucer, premièrement. Sucé sur Erdre, en France, je vous jure, ça existe. Vous rechercherez Sucé sur Erdre, c'est à côté de Nantes, dans l'ouest de la France.
Il y a tellement des noms de villes bizarres en France.
Tous mes amis au Québec me connaissent comme le gars qui vient de sucer. Il y a même une personne, une fois, qui m'a reconnu, pas par mon prénom, mais parce que je venais de dire que je venais de sucer, puis il m'a dit, ah, c'est toi le gars qui vient de sucer. Ça veut dire qu'il y a du monde qui me connaissent avant tout et pas par où est ce que je viens, plutôt par mon nom. Je trouve ça excellent. C'est très, très drôle. Bref, mais à Nantes, à Nantes. Écoute, il y a un, ça fait ça, ça doit faire au moins. Ça fait peut être une dizaine d'années, peut être un peu moins. Le centre ville au complet, il n'y a plus aucune auto. C'est juste des tramways, c'est juste des bus, puis c'est juste des vélos, puis des piétons. C'est tout, il n'y a rien d'autre. Tu ne peux pas aller en auto au centre ville de Nantes. Par contre, en périphérie, tu as genre des gros stationnements, puis là tu peux prendre même un billet de stationnement qui te coûte un certain prix, mais qui te donne l'accès à un trajet, aller-retour en tramway, par exemple, ou en bus ou quoi que ce soit. Tu as comme cette intelligence un peu là de, en centre ville, non, il n'y a pas d'auto. On a besoin de place pour faire d'autres choses parce qu'il y a plus de monde en centre ville. Faire ce genre de densification intelligente, là, moi, elle me semble, ça me tend très bien. Puis, c'est ça, là, je ne sais pas là, tu sais, je me disais même, pourquoi on n'aurait pas un. J'ai pensé à cela, là, j'étais dans mon mode transport. Je me disais un genre de monorail à la Batman ou comme au Japon, le monorail qui l'évite, tu as déjà vu ça? Oui, le bullet train. Oui, le bullet train, c'est ça.
Mais ça, c'est cool, mais c'est cool pour passer d'une ville à l'autre. C'est vraiment comme pour arrêter notre ville.
Oui, exactement. C'est ça. Mais je pensais, c'est vrai que je pensais à la fois nos transports intérieurs, puis je pensais aussi à comment est-ce qu'on sort puis on rentre dans notre ville, mettons. T'sais, d'où est-ce qu'ils viennent, les autres gens, mettons.
T'sais, n'importe quelle livraison de biens qui vient de l'extérieur, faut que ça arrive par camion, par train, par quelque chose. Exactement. Donc oui, tout enterré.
Mais pas tout enterré, juste des choses plus autoroutières, puis ce genre d'affaires-là. Ça se fait quand même déjà des places pour certaines affaires. Mettons, t'sais, à Paris, quand t'arrives en train, quand t'arrives en TGV, tu fais Nantes-Paris en TGV, train à grande vitesse qu'on aura peut-être un jour au Canada dans 100 ans, je sais pas.
T'es optimiste là, t'es optimiste.
Mais le TGV quand tu pars de Nantes, t'arrives à Paris, en arrivant dans la région parisienne, je pense t'as au moins une dizaine peut-être plus de kilomètres où t'es sous terre. Tu vois pas, tu vois rien. T'es juste dans un gros tunnel, puis le train n'occupe pas de l'espace, mettons, où il y a probablement beaucoup d'habitations, etc. Je trouve ça quand même intéressant comme concept.
Oui, t'as mentionné, t'as mentionné le transport de... En tout cas, t'as mentionné tout à l'heure, comment ça s'appelle, iRobot, la série des robots de Asimov.
Oui, oui, le cycle des robots.
Oui, je les ai lu en anglais. Il me semble à un certain point qu'il y a un système de transport pédestre que c'est des tapis roulants.
C'est des tapis roulants. Ça va très très vite.
Exact. Donc, si tu embarques sur... Si tu montes sur le tapis roulant, le premier va lentement. Celui juste à gauche va un peu plus vite. Celui juste à gauche va encore un peu plus vite. Puis plus tu vas sur la gauche, plus tu vas vite.
Et le dernier tapis à gauche, c'est le tapis du photon. C'est lui qui te fait un focku avant de le mettre droit.
Référence au dernier... Avant dernier épisode? Avant dernier épisode. Mais ouais, non, ça, je trouvais ça cool. Par contre, mon côté, accessibilité, c'est zéro. Mais je trouvais ça cool. Il y a un truc, moi aussi, c'est... Si on part à une ville de zéro, moi, c'est le premier truc sur lequel je baserais ma ville. OK, disons qu'à part regarder le terrain à l'air de quoi en ce moment, OK? Est-ce que c'est montagneux, est-ce que c'est... Peu importe. Si tu me donnes budget limité à SMCity, tu n'as même pas besoin de budget, t'es dieu. Ah oui, non, mais c'est ça, mais justement, c'est ça. Je fais mon système de transport en commun. Je pars de ça. Je bâtis ma ville autour de ça. Malheureusement, on fait souvent l'inverse. Et malheureusement aussi, tu sais, tu fais ton système de transport, mais des fois, la ville évolue d'une façon différente de ce qui avait été prévu il y a 40 ans. Mais il faut que tu adaptes ton transport. Donc soit on a un urbanisme, une prévision de l'avenir qui est vraiment, vraiment bonne, soit faut que notre transport puisse être changé ou modifié. Ça, c'est un petit peu une critique au RTC qui s'entête à garder toujours les trajets qu'il y avait dans les années 70. Ça doit rester.
Ça, c'est vrai que des fois, c'est un peu vieux jeu. Certains systèmes de transports, en effet.
Je suis d'accord avec toi. Transport en commun, déplacement simplifié, votre pétanéaire.
Tu sais, quand je repense à Nantes aussi, il y a des endroits où il y a ce qu'on appelle un busway, c'est-à-dire c'est un bus, un très long bus, en deux sections comme nos métrobus ici mettons. Sauf que lui, il a sa voie à lui. Il n'y a aucune voiture qui peut monter dessus. Puis quand il passe à une intersection où il y a d'autres voitures qui pourraient le croiser, il y a un feu qui allume automatiquement pour que lui n'ait pas à s'arrêter, mais toutes les voitures s'arrêtent. C'est un genre de mix entre le bus et le tramway.
Je pense qu'ici ça avait été proposé comme étant une alternative. Ouais, non, c'est ça. Exact. Ça prend ça. Je veux dire, il faut que... Regarde, j'ai fait mes devoirs. J'ai fait mes devoirs. Aujourd'hui, je viens de la banlieue en passant. Pour ceux qui disent qu'on parle de transport en commun, ça, la banlieue, la salle de citadine, non, je suis banlieusard. Je viens de banlieue et j'ai très longtemps utilisé le transport en commun, même en finant de banlieue. Puis la raison pour laquelle je ne l'utilise plus, c'est que aller à mon travail en ce moment, ça me prendrait comme trois heures et demie parce que le transport en commun ici, ça. Oui, exactement. C'est pour ça que le Québec n'a pas besoin de tramway. Non, honnêtement, prenez la RTC pendant une semaine, puis vous allez voir que non, non, non, on a besoin de transport en commun sur les sciences du monde, mais oui, je suis allé, j'ai fait mes devoirs, je suis allé au centre ville. Ben, là tu me dis lequel parce que Québec, il y en a plusieurs. Non, mais je suis allé à une colline parlementaire, Plana-Brams, vieux Québec, je suis allé, bon, petite promenade familiale, mais j'ai pas eu le choix d'y aller en auto. Et Sagos.
C'est ça, c'est tannant, c'est tannant. Je comprends, je te comprends. C'est pas facile parce qu'en plus on est assez seul. Mais Québec, il est fait étrangement aussi.
Québec, c'est une grosse banlieue.
C'est vraiment, c'est vraiment complexe. Il y a des grosses autoroutes en plein milieu dans ce qui est censé être un centre-ville avec beaucoup de piétons et de gens qui habitent. C'est vraiment, c'est complexe, l'évolution, je pense, de la ville de Québec. C'est pas si straightforward. Il n'y a aucune ville que ça doit être si simple que ça. Mais je veux dire, actuellement, on est dans un genre de... C'est difficile de sortir des anciens choix urbanistiques qui avaient été faits dans cette ville.
Il y a des choix qui ont été faits dans le passé. Puis, il y a un des gros choix qui a été fait, c'est l'avenir, c'est les autoroutes.
Oui, c'est ça.
Puis le passé qu'on a fait, comme on a fait environ la moitié des autoroutes qui étaient prévues.
Exactement. Et ça, c'est très intéressant. Il y a mon collègue John qui est designer, qui adore ça regarder des maps, puis des trucs d'urbanisme, etc. Puis il m'avait appris, mais toi tu dois le connaître aussi. T'as comme un espace où il y avait plein de stationnements qui s'enchaînaient les uns après les autres. Il y a le Parc Saint-Roch, stationnement derrière, voyons devant le maillestrom, puis la cuisine, qui est un très gros stationnement. Puis plus loin, il y avait encore un autre stationnement. Ça, c'était un ancien tracé d'autoroute qui était prévu à cet endroit-là. Puis ça, c'est drôle parce qu'il y avait vraiment, c'est vrai que quand tu regardes d'une carte de haut, c'est comme, ah ok, c'est une longue ligne droite qui était prévue réservée à ce passage d'autoroute.
C'est quand même intéressant. Yep, yep. Puis bon, on sait maintenant que c'est pas nécessairement l'avenir, mais ça a permis d'étendre Québec comme étant une très grosse banlieue au lieu de densifier Québec.
Exactement.
Bon, c'est un choix.
Mais nous, on va faire une meilleure ville que ça. On va faire une meilleure ville que ça. Puis moi, je me disais une chose, je me disais justement en partant du début, en faisant des projets de construction avec des promoteurs, etc. ou des promoteurs, nos promoteurs dans le petit jeu SimCity. Mais je me disais, dès qu'on construit, on essaye de toujours à peu près, à peu près, parce que je me doute que ça doit pas être toujours être si facile que ça. Plus tes constructions sont grandes, plus ça doit être un peu compliqué. Mais j'aimerais ça qu'on garde à peu près la même surface de nature que celle qui vient d'être remplacée par notre construction. Mon point étant que, je m'explique, tu fais une tour de peu importe le nombre d'étages, on s'en fout, c'est pas très important. Tu fais un bâtiment.
C'est important, on va y revenir.
Non, mais attends, tu fais un bâtiment, tu creuses, tu retires la nature à cet endroit-là pour être capable de faire ton bâtiment à cet endroit-là, si on imagine un carré, mais ce carré-là, tu trouves une façon que ce soit en mettant de la végétation sur le toit ou en faisant des murs végétalisés de recréer au minimum cette surface de verdure, mettons, sur ton bâtiment, dans le contexte de ton bâtiment, qu'on remette cette nature-là obligatoirement ou cette surface-là quelque part sur l'un des faces de ce cube-là, mettons.
Oui, oui. Moi, c'est un peu la critique que je ferais à Paris. Paris, c'est une belle ville, mais ça pourrait être une très belle ville si c'était moins gris.
C'est tellement gris, c'est vrai.
C'est tellement gris. J'ai vécu là pendant un an. Je veux dire, c'est déprimant. Il n'y a pas de verre. Quand il y a du verre, fait vécu, quand il y a du verre, il y a un parc à mon nez. J'ai voulu juste aller m'asseoir sur l'herbe. Il y a un gendarme qui dès que j'ai mis le pied sur le gazon, s'est mis à siffler. J'art de l'air, j'art de l'air connard.
J'artais. Très belle expression de jartais. Très belle utilisation de l'expression jartais.
Exact. C'est comme le peu de verdure qu'il y a, on ne peut même pas en profiter. Non, non, non, non, non, non.
C'est ça.
En tant qu'Etienne qui est allé sur les Plaines de Brâme ce matin, je veux un équivalent dans notre ville. Un genre de Central Park, un truc central. Bon, le problème de Québec, c'est la grosseur du fleuve central. C'est une bande de la falaise. Mais disons que nous, notre carte est moins falaiseuse, disons, est fleuveuse. Oui, c'est des mots, c'est des mots qui est grosses, je vous jure. Fleuveuse, ben, j'ai besoin d'un parc quelque part. J'ai besoin qu'il y ait beaucoup, beaucoup de parcs, des parcs linéaires. Ça, c'est cool que tu puisses aller d'un endroit à l'autre à vélo sans que tu sois nécessairement collé sur d'autres voitures. Ça, ce serait cool.
Ouais, ça, c'est très intéressant. Ça, je suis de ben d'accord.
Est-ce qu'on peut aussi déterminer une règle que sur les les quelques routes très passantes, le très, ça roule à 70, peu importe, qu'il y a, que ce sera pas les piétons qu'on va mettre juste à côté des voitures. C'est un truc, c'est un truc que je déteste. Puis c'est pour ça que tout le monde finit par marcher sur la piste cyclable qui est beaucoup plus loin. Puis qu'après les vélos plaignent que les piétons sont sur la piste cyclable. Oui, mais c'est parce que sinon...
Ils sont au bord d'une autoroute.
Je suis sur le bord de des voitures qui vont trop vite. J'ai de l'asphalte, de la chaleur, c'est comme non, non, non. Donc ça prend de la verdure, ça prend des arbres, ça prend des gros arbres. Ce qui m'amène à quelque chose parce que j'ai creusé sur le pollen.
Le pollen? Intéressant.
Parce que là, je me suis dit, ok, je veux de la verdure partout. Je veux que dans toutes les rues, il y ait des arbres pour l'ombre. Pour la chaleur, pour aider, pour quand il fait chaud. Bon, c'est beau, c'est en fleurs, le printemps, c'est joli. Puis là, je me suis dit, ok, attendez une minute. Si on met des arbres partout, j'entends tout de suite nos citoyens se plaindre. J'ai le bouton rapide sur le désastre, mais j'entends tout de suite mes citoyens se plaindre qu'il y a trop de pollen. Puis là, ils font des allergies.
Ce qui me fait creuser un petit peu. Je suis quelqu'un allergique, mais pas aux pollen ou les graminés. Ça fait que c'est plus dans les campagnes avec le foin, puis etc. Moi, ça me... Ouais, c'est ça. Mais on n'irait pas faire des champs de blé non plus. Non, non, non.
Mais je veux dire, il y a beaucoup de gens qui ont des problèmes avec le pollen. Puis si on met des arbres à grandeur, il y a beaucoup de gens qui vont se plaindre de ça. Mais il y a un choix qui a été fait dans les villes. J'ai appris quelque chose. Il y a certains arbres qui sont et mâles et femelles. Donc ils font du pollen et ils ont des fleurs. Mais il y a certains types d'arbres, que soit l'arbre est mâle, soit l'arbre est femelle. Ce que je trouve complètement surprenant. Mais c'est ça, ça existe, c'est possible. Puis ce qui fait en sorte que ben là il y a des justement des urbanistes, plusieurs, plusieurs, plusieurs dizaines d'années qui ont décidé on mettra pas d'arbre femelle. On va mettre que des arbres qui sont que mâles parce que les arbres femelles ont des fleurs. Les fleurs font des fruits. Les fruits tombent et c'est le bordel à ramasser.
Ah, mais là ça fait en sorte que ça crée l'effet inverse où il y a trop de pollen, des mâles.
Exact. Mais là il n'y a plus d'arbre femelle, donc tu n'as pas de fruits à ramasser. Mais disons on fait l'inverse. Que des arbres femelles. On règle le problème. Parce que s'il y a que des arbres femelles, ben là c'est sûr il y a des gens qui vont faire comme excuse mais le vent va très loin. Mais disons qu'on a un territoire vraiment vaste.
Là je fais peut-être des extrapolations genre de quelqu'un qui ne s'y connait pas du tout. Mais je me dis qu'il y a peut-être une raison pour laquelle on vit des fois certains problèmes de genre d'un seul coup il y a trop de pollen à tel endroit puis là tous les allergies qui en peuvent plus de leur vie. Mais je me dis ouais mais mettons qu'on aurait laissé juste la nature se gérer entre elles-mêmes puis avoir suffisamment suffisamment d'arbres de toutes sortes. Mais que là quand il y a un coup de vent, ben ça s'en va pas dans tous les sens parce qu'il n'y a pas juste un arbre planté en plein milieu d'une plaine, mais que là ça s'en va partout. Je me dis, il y a peut-être quelque chose dans le fait que toute cette nature-là se tient ensemble qui ferait en sorte que ce serait moins pire peut-être si c'était tout ensemble plutôt que juste quelques arbres plantés à quelques places.
Non mais si justement si on met vraiment beaucoup d'arbres et que des arbres femelles oui peut-être qu'il va avoir certaines fleurs, certains fruits, certains trucs à ramasser mais au pire tu sais quoi? On ramassera, c'est pas grave, et au moins on règle les allergies.
Ça m'amène à un point qui est, j'ai vu un truc qui s'appelle sur LinkedIn tantôt en plus. J'avais préparé mon sujet avant mais tantôt j'ai vu ça passer et je trouvais ça super intéressant. Ça s'appelle le rewilding, puis il y en a un petit peu qui se fait à Québec. Le concept c'est plutôt que de tout tondre dans les parcs, tu laisses des places où ce n'est absolument pas tondu.
J'espère.
Tu laisses des herbes hautes, des trucs, des machins parce que la biodiversité avec tes insectes, tes animaux, tout ce que tu veux, ça vit dans des herbes hautes et non pas sur un gazon bien rasé. Ça je trouvais ça intéressant le rewilding. La ville de Québec le fait beaucoup je pense le long de la rivière Saint-Charles. Justement il y a quelques semaines je suis allé chez un ami qui habite à Saint-Jean-Port-Jolie. Puis lui, ce qu'il a fait dans son jardin qui est comme un espèce de grand jardin d'ancien champ etc. C'est que plutôt que de tout tondre, il s'est tracé des chemins pour aller à son potager, puis à ses arbres fruitiers, etc. Il fait juste tondre ces chemins là, mais c'est tout le reste, c'est des herbes hautes. Puis ça fait en sorte que pour vrai, même quand tu marches dans ces chemins là, en fait, tu as le goût de marcher dans ces chemins là. Alors que si tu avais un terrain tout tondu, je pense que t'aurais moins le goût de marcher jusqu'au bout de ton terrain. En tout cas, je trouve ça intéressant.
Je comprends. Bon, là, il y a plein de détails.
Oui, on tombe dans les détails.
Il y a les tics, mais je suis d'accord avec le fait que, un moment donné, il faut arrêter d'être débile sur le contrôle, qu'est-ce qui pousse. Tu sais, déjà, il y a quelqu'un à un moment donné qui a décidé que le trèfle était une mauvaise herbe, puis qu'il fallait mettre des produits pour pas que le trèfle pousse, pour que ce soit juste du gazon. Mais là, tu n'as pas le choix de faire entretenir en mettant des produits chimiques. Tu sais, il y a quelque chose d'un peu maladif là-dedans. Ok, ok.
J'ai un truc aussi, j'ai une idée. Mettons qu'on aurait un setting, quelque part une configuration qui nous permettrait ça dans l'interface de SimCity. Ça serait de dire, je sélectionne des quartiers, des quartiers d'à peu près même taille ou selon le nombre de personnes qui vivent, ou je ne sais pas trop quoi. Puis j'impose des genres de paliers de revenus moyens ou totaux, mettons, à pas dépasser pour forcer une mixité sociale. Entre différentes classes de revenus, puis de tout ce que tu veux. Pour éviter des effets de genre de ghetto de tous les bas revenus se retrouvent dans tel banlieue, puis tous les hauts revenus se retrouvent dans tel banlieue. Et éviter ce genre de silo, cet effet silo, parce que je pense que ça peut être vraiment cool, une vie où il y a une belle mixité sociale, puis même gérer une coche plus loin. Là, je sais que ça existe déjà des projets de même, mais déjà tu fais des logements, puis mettons que tu mets dans ces logements-là des personnes qui n'ont pas forcément beaucoup de revenus ou qui ont peut-être un peu plus de temps à donner ou de temps à passer sans faire partie de temps que ça dans la population active, genre les étudiants, les aînés, puis les jeunes en garderie. Tu sais, ça existe déjà à quelques endroits, des gens, des aînés, mettons, qui s'occupent de jeunes enfants ou bien des étudiants, puis des aînés qui habitent dans les mêmes genres de résidences. Puis il y a cette collaboration-là qui se crée. Puis ça, je trouve ça vraiment inspirant, moi, d'avoir comme une... On défait les groupes de dire, Ah ben toutes les personnes aînés, ils s'en vont toutes dans des résidences pour aînés. Puis tous les jeunes sont juste dans des garderies tout seuls. Puis tu sais, on essaie de beaucoup de séparer des choses. Puis je suis comme Non, non, non, non! Puis surtout, on essaie de prendre les aînés, puis les enfermer quelque part, les oublier. Ouais, c'est ça.
Ça, on va se le dire.
Oui, exactement.
Oui, oui, oui. C'est drôle que tu dises ça. Regarde, je vais amener mon point que j'aurais peut-être gardé pour la fin, mais c'est pas grave, je vais l'amener maintenant.
Ah, ben oui, tu peux.
On se dirige vers quelque chose. Est-ce que t'as entendu parler de la ville de Telosa? Non. OK, tu te rappelles l'épisode précédent où on disait qu'on avait trouvé 10 milliards par terre. Imagine que tu trouves 40 fois ça, pis t'as 400 milliards. Et t'es un milliardaire américain qui s'appelle Mark Laurie, ou Laura, c'est pas clair. Bref, ce gars-là veut faire une ville. Il veut faire une ville SimCity style.
Ah ouais, hein? Et ce gars-là, l'exercice qu'on a, toi et moi, lui, il l'a eu dans sa tête.
Et il y a un projet de ville qui s'appelle Telosa. Ça vient du grec telos, de l'ancien grec, qui veut dire comme higher purpose, blablabla. Et là, il veut créer une ville, justement, mixité sociale, autosuffisante. Il parle du principe d'équitisme. Je vais essayer de l'expliquer parce que dans ma tête, ça fait à moitié du sens, même avec les explications officielles. Bref, l'équitisme, bref, t'achètes pas le terrain sur lequel tu te construis. La ville te permet à toi de te construire dessus. Et j'imagine que tu loupes, j'imagine que c'est là la passe. Mais tout l'argent que tu donnes à la ville comme ça, va à financer les services publics. Tu vas me dire, bien oui, mais tiens, c'est ça, les taxes municipales, c'est comme ça que ça marche. Mais le principe vient du fait que la ville essaye vraiment de faire en sorte que plus ta propriété, entre guillemets, t'sais comme gagne en valeur, plus la ville gagne en valeur, plus toi tu gagne en valeur par des meilleurs services et etc. Et c'est un cycle sans fin. Bon, ça reste très capitaliste parce que c'est un cycle sans fin tant que la ville prend l'expansion, tant que... Bon, mais bref, il y a quelqu'un qui a un projet de ville un peu comme ce qu'on fait là. Il veut faire ça entre Las Vegas et Phoenix, à quelque part dans le désert. C'est là que c'est un peu comme...
C'est pas un directeur de siècle dont tu me parles? Non, non, non, c'est un gars qui a fait fortune. À quelque part dans le désert. Oups! Puis quoi?
Non, non, non, non, mais vraiment, il fait affaire avec un designer danois, je pense, pour designer sa ville. Et il faut que ce soit une ville autosuffisante. Comme c'est dans le désert, il n'y a pas le choix de mettre de la verdure pour que la chaleur soit pas recablante.
Tout à fait.
L'énergie est générée par des éoliennes, par des panneaux solaires. Tous les immeubles ont des panneaux solaires comme toi. Bref, là, le problème, je ne sais pas comment il va faire pour l'eau. Honnêtement, pour l'eau, je ne le crois pas. Mais c'est un projet qui existe vraiment. Puis ils veulent qu'il y ait une population de 50 000 personnes d'ici 2030. Puis l'objectif, c'est que ce soit une ville de 1 million, 2 millions d'habitants. Puis justement, tu sais, toute la mixité est pensée là-dedans. Transport en commun. Bref, à date, tout ce qu'on a dit, c'est ça.
Tout à fait. Ben oui, c'est super intéressant. Mais c'est drôle parce que quand tu parlais du concept de l'achat de terrain qui appartient plus à la ville qu'aux citoyens, il y a un concept qui existe ici au Québec qui s'appelle la fiducie d'utilité sociale. Connais-tu ça? Ok, non, c'est ça existe. Ça existe, mais ça n'a pas encore été beaucoup utilisé. Tu peux faire le choix en tant que propriétaire terrestre de dire moi mon terrain, je le laisse, je le lègue à la société.
Ok.
Puis ce terrain là est protégé, il appartient à la société, il est protégé par le droit. Puis à partir du moment où tu en fais une fiducie d'utilité sociale, la seule chose que tu as à payer, c'est plus ta maison, ce qui est dessus, tes éléments, etc. Mais le jour où tu revends ça à quelqu'un, tu revends pas la... Tu peux pas avoir cet effet spéculatif là parce que le terrain, il appartient à la société qui prend pas de la valeur à outrance parce qu'on ne fait que misé sur la valeur des terrains de plus en plus grande. Tu ne fais que payer ce qui est dessus ce terrain là puis tu l'utilises à ton tour, mettons quand tu l'achètes ce terrain là. Mais ça appartient à la société. C'est vraiment une mesure qui existe et qui te disait s'il y en avait plus, ça limiterait beaucoup la crise du logement. En fait, la crise de la montée sans cesse des prix du logement au Québec. Bref, super intéressant. Puis il y a des genre Bernie Sanders aux États-Unis qui a déjà mis en place le même genre de concept de fiducité, d'utilité sociale dans son dans son état ou dans sa région, la quantité sénateur, je pense. Bref, c'est super intéressant. Super intéressant.
C'est cool.
Ouais, j'ai pensé à ça. Puis ça, je pense, il faut faire de quoi avec ça. Bon, on a parlé d'éoliennes, on a parlé de panneaux solaires. Ça, je pense, est essentiel. Mais j'aimerais ça aussi qu'on soit intelligent sur l'utilisation de l'énergie. Dans le sens où? Je trouve que des fois, mettons, prendre un exemple, actuellement, ce qui contribue au réchauffement du centre-ville, c'est qu'on a tous en plein été dans les canicules, on a tous des climatiseurs. Là, tu ressors plus de chaleur encore dans l'air, fait que ta température monte d'un cran. Mais ça existe des systèmes qui pourraient peut-être se parler, puis s'échanger de la chaleur ou de la fraîcheur. Puis comme, tu sais, je veux dire, ça reste de l'énergie d'un côté ou de l'autre. Fait que comment est-ce qu'on peut réutiliser de façon plus intelligente? Puis tu sais, la chaleur de l'un pourrait peut-être être aidée à powerer quelque chose d'autre pour un autre. Puis tu sais, je suis comme, me semble, on n'est pas... c'est pas si intelligent que ça l'utilisation qu'on fait actuellement de notre énergie. C'est très dans notre contexte à nous. On reste dans notre bulle à nous. Il n'y a pas d'interaction avec les autres tant que ça. Comment est-ce qu'on peut être meilleur là-dedans? Comment est-ce qu'on peut... Je sais pas, je dis n'importe quoi, mais mettons, je rejette de la chaleur avec ma thermopompe. Puis là, de l'autre côté, il y a genre... je dis n'importe quoi, il y a... je sais pas, une pizzeria qui veut faire chauffer son four, qui utilise en partie cette chaleur-là. Tu sais, je sais pas, il y a des interactions possibles entre ces trucs-là, mettons.
Il y a un truc, j'avais un truc, est-ce que c'est des briques? Je me rappelle plus. Je me rappelle plus c'est quoi, mais il y a un principe qui existe que tu utilises l'électricité et ton énergie pendant la nuit pour chauffer un élément qui peut garder énormément de chaleur compacté quelque part. Je pense que c'est comme des briques équivalent de four à pizza, mais je ne suis pas sûr. Je parle à travers mon chapeau. Puis dans la journée, quand l'énergie est plus demandée, toi t'en demandes moins parce que tu utilises cette chaleur-là au compte gouttes pour chauffer ta maison.
Super intelligente.
Non, t'emmagasines de la chaleur. C'est physique. Tu ne charges pas une batterie. C'est vraiment comme dans le magazine de la chaleur. Moi, ça existe. Je pense même qu'en ce moment, j'avais lu comme quoi le gouvernement allait peut-être même subventionner une installation de ce genre de système là. Mais... Mais mettons là Baptiste, je te relance la balle parce que t'as l'initiative là, mais mettons qu'on va plus sci-fi là parce que bon, on est plus des gens de sci-fi, on a plus comme ça fit plus avec le podcast là. Des idées de sci-fi qui sont autant goofy que réalistes là, mais est-ce qu'il y a des choses qu'on devrait mettre dans notre ville qui pourraient être cool? Tu sais on a parlé de tapis roulants tout à l'heure.
J'aurais peut-être mis... Ok, mettons qu'on est loin dans le futur là, j'aurais peut-être mis une station flottante dans l'espace, un peu à la... Ok, bon, encore une fois, c'est une référence à Zimov là, mais il y a dans la Zimov le cycle fondation. Puis dans le cycle fondation, il y a la planète principale de l'Empire qui s'appelle Trentor.
Trentor.
Puis cette planète là, comment tu peux y arriver? Il y a un spatioport qui est en orbite autour, puis qui est relié par un genre d'ascenseur géant jusqu'à la planète. Puis je dois dire que ça, ça m'a toujours impressionné comme concept. Fait que mettons qu'on est loin dans le futur, puis mettons qu'on a colonisé d'autres galaxies. Notre ville, je pense, elle aurait son petit, soit au moins son petit ascenseur pour aller vers le spatioport principal. Ou quelque chose de même. Je me semble que je rajouterais de quoi de même.
C'est cool. Moi, je pensais au tube dans Futurama. Ah oui? Que tu montes dans le tube et ça te livre à l'endroit où tu vas aller.
Ah c'est bon.
J'aimerais ça. Tu parlais d'asilements via un truc. Tu sais, mettons pour la génération de notre énergie, nous de notre ville. Dans les robots, il y avait une des histoires que c'était, je pense, deux employés qui étaient dans l'espace sur une station qui recueillaient l'énergie du soleil et qui la bimait vers la terre. Microwave Power. Ah ouais. Mais là, le problème, c'est que si ton calcul n'est pas exact, puis si tu vises pas exactement la bonne chose, tu pourrais comme détruire. Détruire pas la planète, mais détruire la ville autour.
La ville au complet. Ça, c'est quand t'as sélectionné dans le menu catastrophe.
Catastrophe.
Microwave.
Tu passes le vélo micro-home. Non, mais tu sais, il y a reste un genre de solution aussi pour la génération d'énergie. Il y a des générateurs de fusion qui commencent à se faire, qui ont du succès. Puis ça va de plus en plus à être, je veux dire, réaliste d'avoir une usine à fusion. Comme dans SimCity 2000, dans le temps, qui coûtait juste comme 40 000 dollars. Une usine à fusion.
C'est pas cher.
C'est vraiment pas cher. Je vais l'apprendre. Non, mais tu sais, c'est cool de voir plein de trucs où les villes pourraient se diriger côté justement, sci-fi, on peut se le dire.
Et puis si un jour ça chie trop. Moi, je pense que ce que je ferais, c'est que un peu à. OK, mettons, mettons que genre la planète autour, ça chie complètement, puis etc. D'un seul coup, on aurait un bouton, toi ou moi, là, peu importe, une petite télécommande, on appuie dessus. Puis là, ça fait un peu comme on aurait l'impression que ça pourrait être comme dans Inception, quand il y a comme le je sais pas si tu vois, la ville qui plie. Mais en réalité, ce qui se passerait, c'est que ça serait en train de se transformer en une espèce d'alo pour partir en voyage dans l'espace. Notre ville deviendrait une espèce d'alo genre, comme dans la série Halo, pour recréer la gravité artificielle en tournant, mettons. C'est ça. Notre ville pourrait s'échapper.
Il faudrait que la ville soit une ligne. Il y a le projet de Line en Arabie Saoudite, la ville. Tu iras voir ça. Je pense que c'est en train de virer à la catastrophe. C'est une ville qui est faite sur une ligne. Qui? Qui est comme un gros mur. C'est comme le mur dans Game of Thrones. C'est vraiment weird. Je pense qu'elle est faite en miroir ou peu importe. Je comprends tellement pas le principe derrière. Pourquoi ils font une ville sur le long? Ça fait aucun sens à mes yeux, mais bon.
Parce qu'ils ont passé l'idée du halo.
Peut-être que c'est ça. Ils veulent s'envoler dans l'espace.
J'ai une autre idée. Un peu moins sci-fi, downward, c'est subventionner en priorité l'installation de boulangeries. Non, c'est une joke.
Pourrais-tu, s'il te plaît...
Vive la France.
Oui, c'est ça. Regarde, prends ton passeport canadien, va le brûler, c'est fini. Tu viens de perdre. Mais il y a un truc par contre. Si maintenant on va vers l'Europe, tu sais que quand tu vas dans une ville en Europe et tu fais comme Oh wow, c'est vraiment beau. Même dans les villes nord-américaines, les endroits qu'on fait comme Ah, c'est vraiment beau, c'est pas mal toutes des places où c'est quatre, cinq étages de haut, pas plus. Moi, je pense que ça pourrait être une bonne base pour notre ville aussi. C'est une limite à cinq étages, cinq, six étages. Tu mets de la verdure, tu mets des rues piétonnières, etc. Puis si tu as un immeuble qui est plus gros que ça, il faut qu'il y ait une bonne raison. Une bonne raison, là. C'est comme, ok, ça, tu sais, comme encore là inspiré de tout à l'heure quand je suis allé me promener dans le Vieux-Québec, le château Frontenac, c'est quand même cool. Oui, le château Frontenac, oui, oui. Il y avait un Landmark. Il y avait ça aussi dans SimCity. Tu étais dans le menu Landmark, trompe-toi pas, désastre, t'es à côté. Puis tu mettais tes Landmark, puis c'est comme, oh wow, cool.
Oh merde, j'ai vu la chaîne Ouragon.
Mais tu sais, même chose, j'aime bien New York, j'aime bien aller à New York, mais quand t'es entre deux buildings, puis t'es à l'ombre, puis tout ce que ça sent, c'est comme les bouches de métro, puis ça sent comme les voitures, puis t'as pas de verdure, t'as rien, il y a quelque chose. En tout cas, mettons à Boston, tu vas dans Back Bay, puis toutes les maisons, tous les Baptistes sont briques rouges, toits noirs, c'est pas plus que trois, quatre étages, puis c'est vraiment beau, puis tu veux être là, puis tu veux passer du temps là. Le seul X, c'est pas piétonnier, mais il y a plein de boutiques, c'est vraiment cool. C'est un quartier dans Boston.
Je pense que je rajouterais quelque chose à ce moment-là. Je rajouterais au moins un endroit qui serait, qui surplomberait, mettons un peu, le reste de la ville. Parce que je dois avouer que ce que j'aime à Québec et à Montréal, c'est qu'il y a des places où tu peux, ta vue quand même, t'as une vue d'assez haut sans avoir à être dans un bâtiment, mettons. Bon, nous, on a la Haute-Ville ici, mais c'est un peu plus habité. Mais mettons à Montréal, il y a le Mont Royal que tu peux monter. Puis t'as quand même une vue assez imprenable sur Montréal. Fait que je trouve ça cool d'avoir cet espace-là. À la limite, plus Mont Royal parce que ça reste juste un parc avec la nature. Fait que bref, je trouve ça intéressant.
Non, c'est cool. Puis pour ça, c'est avant qu'on soit dans notre ville. Finalement, on disait que transport en commun au premier. Changeons ça, ajustons le terrain au début.
Oui, oui, oui. Ça va déterminer s'il y a des métros aussi ou pas.
Exact, exact. Non, non, c'est cool, c'est cool. Puis à la fin de la journée, quand on fera comme, ouais, finalement, c'était pas une bonne idée, ben là, on laissera aller le menu désastre.
Exactement.
Mais quoi que si notre ville est bien faite, l'ouragan, il fera rien. Il va juste générer plus d'électricité. Tout à fait.
Ah oui, exactement. On va être capable de capter l'énergie des... Ah, c'est drôle. On va avoir rendu notre ville résiliente au menu destruction de SimCity. C'est bon.
C'est excellent.
Genre les développeurs de SimCity qui pensaient qu'ils pouvaient tout raser. Mais non, la population de la ville est devenue trop intelligente. Et ils ne peuvent plus se faire erased.
Sinon, il faut un style unique.
Un style unique. Je suis d'accord.
Je ne veux pas débarquer dans notre ville et faire comme Oh, ça pourrait être n'importe où dans le monde.
Non, c'est sûr. Il y a quelque chose. Quand tu vas à Paris, tu sais que tu es à Paris.
Ah oui, c'est gris.
Non, mais mettons, quand tu te balades, tu sais, c'est n'y est-ce pas, mais tu sais, j'allais dire.
Quand tu vas à Londres, tu sais que tu es à Londres, parce que quand tu traverses la rue, tu te fais frapper par la gauche. Non, par la droite, en lieu de te faire frapper par la gauche. Tu vois, je me suis trompé, je me ferais frapper encore.
Non, mais tu sais, il y a quelque chose dans le... Oui, il y a un feeling culturel quasiment que tu sens dans les bâtiments qui ont été construits. Puis, je sais pas, il y a quelque chose en effet de... Il faudrait que ça soit propre à nous. C'est quoi? C'est-tu un style de construction? C'est-tu une couleur? C'est-tu... c'est quoi? Les deux, les deux.
J'aimerais ça que ce soit... Ben, je veux dire, il est temporaire à chaque fois, mais j'aimerais... Québec, les endroits qui sont beaux, sont bien, ils me sont vieux, mais il y a eu à un moment donné un genre de boom à Québec, puis c'était l'époque du béton.
Ouais, c'est ça. Le brutalisme.
Le complexe G, le complexe H, que c'est un radiateur en béton. Ah là là.
Ça, c'est quand même pas les plus beaux buildings, je dois dire.
C'est... regarde, c'est let. On va le dire, hein? Le trop hâté à la fin de let. Producteur de liat. C'est let, là. C'est let.
Ouais, ça nous prendrait un style qui n'est pas le brutalisme. Qu'est-ce que ça pourrait être? Quelque chose qui évolue bien avec le temps. Mettons un style où, mettons un jour il y a eu une apocalypse, zombies ou bombes nucléaires ou quoi que ce soit, puis nos bâtiments sont encore là, mais là la végétation a commencé à chier dans tous les sens. Puis là, mettons que notre ville aurait encore la classe dans une apocalypse.
J'aimerais ça qu'elle ait l'air de ça au départ.
Ah, c'est pas fou ça. Mais juste comme... Hey, j'avais pas pensé à ça, mais oui. Ok, pas toute pétée, mais genre il y a beaucoup de thé. Ouais, ouais, ouais, c'est vrai. Hey, t'as raison, c'est pas fou ça. Genre tu rentres, tu vois des bâtiments avec la végétation qui part un peu dans tous les sens, et là, il y a comme, je sais pas, peut-être pas des flamants roses, mais genre je sais pas, il y a un groupe de grands oiseaux qui passent d'un bâtiment à un autre, je sais pas. C'est vrai que c'est pas fou ça.
C'est pas fou. Puis on appelle ça la I Love It City, puis c'est Denis Villeneuve qui projette ses films sur les oiseaux.
Non, mais attends, tu ris, mais on pourrait peut être s'inspirer de l'univers de Denis Villeneuve pour penser au style de notre ville.
Oh, jee, à ta peur.
L'univers de Denis Villeneuve, excuse.
Blade Runner, non. Dune, non. Pas mal. Ben, Arrival. Il y a une grosse pilule, mais sinon.
OK, qu'est ce qu'on? OK, parce que tu sais, mettons, il y en a aussi des places, genre en Belgique, c'est quoi? Il n'y a pas un genre de gigantesque molécule avec des atomes. C'est tu en Belgique? J'ai aucune idée de quoi tu parles. En tout cas, il y en a, ils ont des monuments. Mettons, bon, Paris, il y a ce aussi, sa tour Eiffel. Puis tu sais, on peut aussi planter quelque chose qu'on aime particulièrement, mettons, qui pourrait avoir une forme particulière, on pourrait faire une statue gigantesque de Denis Villeneuve.
Ça pourrait être avec la citation en dessous, I love it, I deeply, deeply love it.
Ah oui, c'est bon, c'est drôle. On fait comme le Mont Washington, mais il y a la face de Denis Villeneuve, la face de Christopher Nolan.
Tu veux dire le Mont Rochemore? Ah excuse, le Mont Rochemore. Quelle bonne idée. Denis Villeneuve, Christopher Nolan, Edgar Wright et... Ah, et ben Trogi. Ricardo Trogi, c'est réglé. Ah mais attends, est-ce qu'on met réellement Ricardo Trogi ou on met l'acteur qui joue Ricardo Trogi? Moi j'ai envie de mettre l'acteur juste pour le tour de rue.
On peut mettre l'acteur, ça peut être très drôle, ça peut être très drôle. Puis là, il faut lui donner un nom qui pourrait être écrit avec les grosses lettres comme Hollywood. Il faut lui donner un nom à cette ville-là. T'as dit I Love It, hein? I Love It City, ouais mais c'est pas...
C'est pas...
Ça peut être I Love It.
Commentaire, commentaire. I Love It. I Love It, mais I Love It... A-I-TREMA-E-Espace-L-O-V-I-T-T-E Mais ça fait un...
Je sais pas pourquoi, mais je trouve que ça fait un très bon nom pour un réseau de transport aussi. I Love It.
I Love It Express.
I Love It Express. I Love It Oui.
Ah, c'est bon. Toute une expérience quand même.
Toute une expérience.
Toute une expérience. Sujet assez spécial, mais c'était cool. C'était cool. On a réussi à mettre notre petit twist habituel dedans. Baptiste, où est-ce qu'on peut nous trouver? Et comment on peut nous aider? Tout à fait.
Premièrement, vous pouvez nous trouver sur J'adore ça, podcast.com.
J'adore ce podcast.
Vous pouvez trouver tous les liens vers tout depuis ce site-là. Puis vous pouvez également aller sur nos différents réseaux sociaux, nous lâcher des petits likes, nous lâcher des petits messages. On est sur Facebook, on est sur Instagram. On a un Discord que vous pouvez rejoindre. Vous pouvez même, je sais pas, en parler autour de vous, partager ça à des amis, de la famille. Que ce soit un re-hold qui vous fera peut-être perdre deux minutes ou pas. À l'inverse, qui va vous faire, je pense, gagner du temps. Peut-être vous allez rajeunir en nous écoutant. Ça se peut ça.
Mais oui, si vous êtes sur YouTube, laissez un like. En ce moment, YouTube est en train d'exploser dans le positif. Donc, continuez là-dessus.
Tout à fait.
On aime bien ça.
On adore ça.
Puis on vous dit à la prochaine.